« J’étais matériellement bien lotie, mais je n’étais pas heureuse »
Je pouvais imaginer vivre à l’étranger, sans être une grande fan de la Scandinavie.Plus j’y suis, plus j’apprécie. Les Danois sont plus décontractés que les allemands. Tout le monde se tutoie, même au téléphone avec les impôts. J’aime la philosophie de vie hygge : se mettre à l’aise à la maison avec un thé quand le temps est mauvais, ou découvrir les jolis cafés de Copenhague. L’été récompense d’avoir survécu à l’hiver. La qualité de vie est très élevée, on peut se baigner partout et l’ambiance est géniale.
En m’installant à Copenhague, j’ai pris un risque. Cela ressemblait à un pas vers le bonheur.La liberté est plus importante que la sécurité. Certains qualifieraient ma décision de naïve. Je suis naïve, mais c’est peut-être nécessaire pour se lancer dans l’inconnu : élever mon enfant seule avec mon ami, sans famille à proximité. C’est un défi, mais aussi une chance pour nous en tant que couple : savoir que nous formons une équipe et que nous pouvons y arriver à deux. Nous avons un réseau d’amis au Danemark pour les urgences. C’est différent de la présence d’une grand-mère.
Le nouveau départ comme grand changement
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Au début, je me sentais seule à Copenhague, je pensais à ma vie en allemagne et me demandais comment subvenir à mes besoins au Danemark. Je me suis bien habituée et travaille comme psychologue indépendante. Ce nouveau départ m’a donné de la force, car j’ai vu que je pouvais maîtriser un grand changement dans ma vie. Il peut être positif que sa vie change radicalement. L’idée que je pourrais retourner en Allemagne et y reconstruire ma vie m’a aidée lors de mon émigration.
Pour l’avenir au Danemark, je souhaite améliorer mon niveau de langue. Quand je suis en Allemagne, j’apprécie de pouvoir parler dans ma langue maternelle et d’intégrer des choses que je ne pourrais pas exprimer en danois. C’est une bénédiction et une malédiction qu’il soit facile de se débrouiller en anglais à Copenhague, et notre langue familiale est aussi l’anglais. J’aimerais comprendre davantage et avoir plus de contacts avec les Danois. Il est difficile de nouer des amitiés danoises, mais j’ai l’impression que les gens sont très chaleureux quand ils s’ouvrent.
Dans l’article,seul le prénom est indiqué sur demande. Le nom complet est connu de la rédaction.
De la richesse matérielle au bonheur danois : Mon expérience d’expatriée à Copenhague
“J’étais matériellement bien lotie, mais je n’étais pas heureuse.” Cette phrase résume parfaitement mon état d’esprit avant mon départ pour le Danemark. Bien que je n’étais pas une grande amatrice de la Scandinavie, l’idée de vivre à l’étranger me trottait dans la tête. Plus je vis au Danemark, plus j’apprécie ce pays. Les Danois sont plus décontractés que les Allemands, le tutoiement est de rigueur, même avec le fisc ! J’adore le concept du hygge, cette ambiance chaleureuse et confortable, que je savoure autant dans mon appartement avec un thé par mauvais temps que dans les charmants cafés de Copenhague. L’été, après avoir bravé l’hiver, est une véritable récompense. La qualité de vie est exceptionnelle : possibilités de baignade partout et une ambiance incroyable.
Mon nouveau départ à Copenhague : un saut dans l’inconnu
S’installer à Copenhague était un risque, un pas vers le bonheur. J’ai privilégié la liberté à la sécurité.Certains trouveront ma décision naïve, et je l’admets, je le suis peut-être. Mais cette naïveté, je pense qu’elle est parfois nécessaire pour se lancer dans l’inconnu, pour élever mon enfant avec mon ami, loin de notre famille. C’est un défi, certes, mais aussi une chance de nous prouver que nous formons une équipe solide. Un réseau d’amis au Danemark nous soutient en cas d’urgence, même si ce n’est pas comparable à la présence d’une grand-mère.
Le nouveau départ comme grand changement
mes premiers mois à Copenhague ont été marqués par la solitude. Je pensais souvent à ma vie en allemagne, me questionnant sur ma capacité à subvenir à mes besoins au Danemark. Aujourd’hui, je suis bien intégrée et travaille comme psychologue indépendante. Ce nouveau départ m’a forgée, m’a prouvé que je pouvais surmonter un grand changement de vie. Le fait de savoir que je pouvais toujours rentrer en Allemagne et reconstruire ma vie là-bas m’a beaucoup aidée durant mon installation.
Améliorer mon danois : un objectif pour l’avenir
Pour l’avenir, j’aimerais améliorer mon niveau de danois. Quand je suis en Allemagne, j’apprécie de pouvoir parler ma langue maternelle et d’exprimer des nuances impossibles en danois.Le fait que l’anglais soit largement parlé à Copenhague est à la fois une bénédiction et une malédiction, surtout que c’est notre langue familiale. Je souhaite mieux comprendre la culture danoise et tisser des liens plus forts avec les Danois. Se faire des amis danois est un défi, mais j’ai senti leur chaleur une fois la glace brisée.
FAQ
| Question | Réponse |
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| pourquoi avez-vous quitté l’Allemagne ? | pour rechercher le bonheur et une plus grande liberté. |
| Quelles difficultés avez-vous rencontrées ? | La solitude initiale et l’adaptation à une nouvelle culture et un nouveau pays. |
| Quels sont vos projets au Danemark ? | Améliorer mon danois et approfondir mes relations avec les Danois. |
| Qu’est-ce que vous appréciez le plus au Danemark? | Le hygge, la qualité de vie, la nature, la décontraction des Danois. |
Comparaison Allemagne / Danemark
| Critère | Allemagne | Danemark |
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| Décontraction | Moins décontracté | Plus décontracté |
| Tutoiement | Moins courant | Courant, même avec les administrations |
| Intégration sociale | Plus difficile selon l’auteure | Plus difficile selon l’auteure |
| Langue | Facile à utiliser pour l’auteure | Difficulté à utiliser pour l’auteure |