La Commission Européenne (CE) a annoncé qu’à partir d’avril, elle imposera des taxes douanières d’une valeur de 26 milliards d’euros sur les produits américains, en réponse à l’augmentation des tarifs douaniers américains sur les produits en acier et en aluminium. Le canada a également annoncé l’request de taxes douanières de rétorsion d’une valeur de 29,8 milliards de dollars canadiens sur les produits américains [[2]].
la présidente de la CE, Ursula von der Leyen, a déclaré :
« Dans un environnement global plein de compétitions géopolitiques et d’incertitudes économiques, l’alourdissement de l’économie par des mesures tarifaires n’est pas du tout dans l’intérêt général. »
Le Premier ministre australien, Anthony Albanese, a déclaré que les mesures tarifaires et l’augmentation incessante des tensions commerciales sont des actions économiques d’« auto-mutilation », qui entraîneront un ralentissement de la croissance économique et une inflation plus élevée.
Le commissaire européen pour l’Économie et la Productivité, Valdis dombrovskis, a indiqué, citant les prévisions du Fonds Monétaire International, que les nouvelles mesures tarifaires américaines entraîneront une baisse de 7 % du PIB mondial, équivalent au total des PIB de la France et de l’Allemagne.
Une série de mesures tarifaires adoptées récemment par l’administration américaine ont rencontré des critiques et des mesures de rétorsion de la part d’autres pays et entités économiques, générant agitation et inquiétude sur les marchés financiers mondiaux. Le conflit commercial et tarifaire n’a pas de gagnant, ne faisant qu’accentuer les incertitudes de l’économie mondiale et alourdir les étapes du développement économique global. L’Union Européenne a déjà riposté par le passé à des droits de douane américains [[1]], [[3]].
guerre Commerciale: L’Escalade Tarifaire Menace l’Économie Mondiale
L’augmentation des tarifs douaniers américains provoque une réaction en chaîne de mesures de rétorsion à travers le globe, menaçant gravement la croissance économique mondiale. La Commission Européenne (CE) a annoncé des taxes douanières de 26 milliards d’euros sur les produits américains en réponse à l’augmentation des droits sur l’acier et l’aluminium. Le Canada a également annoncé des mesures de rétorsion d’une valeur de 29,8 milliards de dollars canadiens.[[2]]
La Présidente de la CE, Ursula von der Leyen, a exprimé ses inquiétudes, déclarant que “Dans un environnement global plein de compétitions géopolitiques et d’incertitudes économiques, l’alourdissement de l’économie par des mesures tarifaires n’est pas du tout dans l’intérêt général.” Le Premier ministre australien, anthony Albanese, a quant à lui qualifié ces mesures d’« auto-mutilation économique », prédisant un ralentissement de la croissance et une inflation accrue. Le commissaire européen Valdis Dombrovskis a cité les prévisions du FMI, annonçant une baisse de 7% du PIB mondial, soit l’équivalent du PIB combiné de la France et de l’Allemagne. [[1]] [[1]]