L’armée russe a affirmé avoir repoussé une tentative d’assaut des forces ukrainiennes sur la région de Belgorod. Moscou considère cette attaque comme une manœuvre pour saper les négociations de cessez-le-feu avec Washington.

Cette annonce fait suite à un entretien téléphonique entre Donald Trump et Vladimir Poutine. Poutine aurait accepté une pause de 30 jours des frappes sur les infrastructures énergétiques ukrainiennes, tout en rejetant un cessez-le-feu plus large.Selon le ministère russe de la Défense, l’Ukraine aurait déployé jusqu’à 200 soldats dans cet assaut, accompagnés de « cinq tanks, 16 véhicules blindés de combat et trois véhicules de démolition ».

« Un total de cinq attaques ont été effectuées par l’ennemi », a déclaré le ministère, ajoutant que « la traversée de la frontière de la Fédération de Russie n’a pas été permise » par les forces ukrainiennes.

Le ministère a précisé que ces attaques visaient les localités de Demidovka et Prilesye.

Selon Moscou, cette offensive ukrainienne viserait à « discréditer les initiatives de paix de Trump ».

La Russie accuse régulièrement l’Ukraine de mener des incursions dans ses régions frontalières, notamment dans la région de Koursk, où les combats se poursuivent depuis août. L’état d’urgence a même été décrété dans la région de Belgorod en raison de ces attaques [1], [2], [3].

« Toutes les attaques ont été repoussées par les actions des unités de protection de la frontière de l’État du groupe de forces « Nord », par les tirs d’artillerie et par l’utilisation de drones FPV. La traversée de la frontière de l’État de la Fédération de Russie n’a pas été permise », indique le communiqué.

De son côté, Andrii Kovalenko, chef du Centre ukrainien pour la lutte contre la désinformation, a démenti ces affirmations.

La région de Belgorod est limitrophe des régions de Soumy,Kharkiv et Louhansk en Ukraine.elle est régulièrement utilisée par les forces russes pour lancer des attaques sur le territoire ukrainien. Les autorités de Belgorod ont accusé à plusieurs reprises l’Ukraine d’avoir mené des frappes sur la région et la ville de Belgorod depuis le début du conflit. Récemment, des affrontements ont été signalés dans la région, dans le contexte d’une incursion transfrontalière ukrainienne en cours, axée sur la région voisine de Koursk.

Tentative d’assaut ukrainien sur Belgorod : Moscou affirme avoir repoussé l’attaque

L’armée russe a annoncé avoir repoussé une tentative d’assaut des forces ukrainiennes sur la région de Belgorod. Moscou qualifie cette attaque de manœuvre visant à saper les négociations de cessez-le-feu en cours avec Washington. Cette annonce fait suite à un entretien téléphonique entre Donald Trump et Vladimir Poutine, au cours duquel Poutine aurait accepté une pause de 30 jours des frappes sur les infrastructures énergétiques ukrainiennes, tout en refusant un cessez-le-feu plus global.

Selon le ministère russe de la Défense, l’Ukraine aurait déployé jusqu’à 200 soldats, cinq tanks, 16 véhicules blindés de combat et trois véhicules de démolition. Cinq attaques auraient été menées par les forces ukrainiennes, ciblant les localités de Demidovka et Prilesye, mais aucune n’aurait réussi à franchir la frontière russe. le ministère affirme que ces attaques ont été repoussées grâce aux unités de protection de la frontière, à l’artillerie et à des drones FPV. Moscou accuse l’Ukraine de chercher à discréditer les initiatives de paix de Trump.

Andrii Kovalenko, chef du Center ukrainien pour la lutte contre la désinformation, a démenti les affirmations russes.

La région de Belgorod, limitrophe des régions ukrainiennes de Soumy, Kharkiv et Louhansk, est régulièrement utilisée par la Russie pour lancer des attaques sur le territoire ukrainien. Elle a été le théâtre d’affrontements récurrents depuis le début du conflit, et l’état d’urgence y a été décrété suite à des attaques attribuées à l’Ukraine [1], [2], [3].Des combats se poursuivent également dans la région voisine de Koursk depuis le mois d’août.

Résumé des Informations Clés

| Facts | Détails | Source |

|————————–|———————————————-|——————————————-|

| Lieu de l’incident | Région de Belgorod, Russie | Ministère russe de la Défense |

| Acteur impliqué | Forces armées ukrainiennes (selon la Russie) | Ministère russe de la Défense |

| Réponse russe | Attaque repoussée | Ministère russe de la Défense |

| Nombre de soldats ukrainiens (selon la Russie) | Jusqu’à 200 | Ministère russe de la Défense |

| Matériel militaire (selon la Russie) | 5 tanks, 16 véhicules blindés, 3 véhicules de démolition | Ministère russe de la Défense |

| Objectif (selon Moscou) | Discréditer les initiatives de paix de Trump | Ministère russe de la Défense |

| Démenti | par Andrii Kovalenko, Centre ukrainien contre la désinformation | – |

FAQ

Q : L’Ukraine a-t-elle confirmé son implication dans l’attaque ?

R : non, l’Ukraine a démenti les affirmations russes.

Q : Quel est le contexte de cette attaque ?

R : Elle survient après un entretien téléphonique entre Trump et Poutine, concernant un potentiel cessez-le-feu partiel.

Q : Quelles sont les conséquences de cette situation ?

R : L’incident exacerbe les tensions entre la Russie et l’Ukraine, et pourrait compromettre les négociations de cessez-le-feu.

Q: La Russie a-t-elle déjà fait face à des attaques similaires auparavant ?

R: Oui, la région de Belgorod a subi plusieurs attaques similaires et a même déclaré l’état d’urgence à plusieurs reprises. Des attaques ont également été signalées dans la région voisine de Koursk.