Le maire d’Istanbul a été arrêté au cours d’une vaste opération policière. Plus d’une centaine de personnes ont été interpellées. La justice turque l’accuse de diriger une organisation criminelle et d’entretenir des liens avec une guérilla.

Cette arrestation survient alors que l’homme politique devait être désigné candidat à la prochaine élection présidentielle. Selon son parti, cette annonce précoce visait à le protéger d’une possible persécution politique.

Un responsable politique a dénoncé un « coup politique », comparant la situation actuelle à un coup d’État.

L’accès à plusieurs réseaux sociaux a été bloqué en Turquie.Des voies de interaction ont été coupées à Istanbul pour empêcher des manifestations.

Ce n’est pas le premier maire d’opposition arrêté en turquie pour des motifs politiques. Le gouvernement a fréquemment destitué des élus, notamment dans les régions kurdes. Istanbul, en raison de son importance, avait été épargnée jusqu’à présent.

Dans une vidéo diffusée lors de son arrestation, l’élu a déclaré : « Cette attitude immorale et tyrannique sera combattue par la résilience et la volonté de notre peuple. Je transmets toute ma solidarité à tous les enfants, femmes et hommes de notre pays. Je me maintiens ferme. Que personne ne s’inquiète. Je vous aime tous. J’aime mon pays ».

quelques heures avant son arrestation, l’université où il a étudié a invalidé son diplôme, un document nécessaire pour se présenter à la présidence.

Arrestation d’Ekrem imamoglu : Un Coup Politique en Turquie ?

L’arrestation du maire d’Istanbul, Ekrem Imamoglu, le 19 mars 2025, a déclenché une onde de choc en Turquie et à l’international. Accusé par la justice turque de diriger une organisation criminelle et d’entretenir des liens avec une guérilla [source], Imamoglu, principal opposant au président Erdogan, a été arrêté lors d’une vaste opération policière ayant mené à plus d’une centaine d’interpellations.

Cette arrestation, intervenue alors qu’Imamoglu devait être désigné candidat à l’élection présidentielle, est perçue par son parti comme une tentative de persécution politique. Un responsable politique a même dénoncé un “coup politique”, comparant la situation à un coup d’État. L’accès à plusieurs réseaux sociaux a été bloqué et la circulation a été coupée à Istanbul pour prévenir des manifestations.

L’arrestation d’Imamoglu s’inscrit dans un contexte de répression politique accrue en Turquie. Le gouvernement a fréquemment destitué des élus locaux, notamment dans les régions kurdes. L’importance d’Istanbul avait jusqu’à présent épargné la ville de telles mesures. Quelques heures avant son arrestation, l’université où il a étudié a invalidé son diplôme, une condition préalable à sa candidature à la présidence.

Dans une vidéo diffusée lors de son arrestation, Imamoglu a déclaré : « Cette attitude immorale et tyrannique sera combattue par la résilience et la volonté de notre peuple. Je transmets toute ma solidarité à tous les enfants, femmes et hommes de notre pays. Je me maintiens ferme. Que personne ne s’inquiète. Je vous aime tous. J’aime mon pays ».

Informations Clés :

| Information | Détail |

|————————–|———————————————-|

| Date de l’arrestation | 19 mars 2025 |

| Accusations | Direction d’organisation criminelle, liens avec une guérilla |

| Contexte politique | Principal opposant à Erdogan, candidat potentiel à la présidence |

| Réactions | Dénonciation d’un “coup politique”, blocage des réseaux sociaux, restrictions à Istanbul |

| Précédents | Arrestations fréquentes d’élus d’opposition en Turquie |

FAQ

Q : Quelles sont les accusations portées contre Ekrem Imamoglu ?

R : Il est accusé de diriger une organisation criminelle et d’entretenir des liens avec une guérilla.

Q : Pourquoi cette arrestation est-elle considérée comme un coup politique ?

R : Elle intervient alors qu’il devait être candidat à la présidentielle et s’inscrit dans un contexte de répression politique accrue du gouvernement.

Q : Quelles mesures ont été prises pour empêcher les manifestations ?

R : L’accès à plusieurs réseaux sociaux a été bloqué et des voies de circulation ont été coupées à Istanbul.

Q : Y a-t-il des précédents à cette arrestation ?

R : Oui,le gouvernement turc a fréquemment destitué des élus d’opposition,notamment dans les régions kurdes.

Note: Les sources des informations sont [[1]],[[2]] et [[3]]