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Paddy Cosgrave : En poste après sa démission ?

by Nouvelles

une interaction interne du Web Summit, émise sous les instructions de son directeur général, suggère qu’il exerçait toujours un contrôle effectif sur l’entreprise, même après sa démission en octobre 2023. Cette démission faisait suite à la controverse suscitée par ses publications sur les réseaux sociaux concernant Israël et Gaza. L’information a été divulguée lors d’une audience devant la Haute Cour.

Ses publications sur X en octobre 2023 ont incité plusieurs sponsors importants à se retirer de la conférence technologique annuelle à Lisbonne, au Portugal, entraînant son départ de l’entreprise quelques semaines avant l’événement.

Une autre personne a assumé le rôle de directeur général jusqu’à son retour en avril 2024.

Lors de ses déclarations liminaires dans un procès civil devant la Haute Cour, un avocat représentant un actionnaire minoritaire du Web Summit, a déclaré que son client était accusé d’avoir délibérément dissimulé une allégation contre un autre actionnaire minoritaire et ancien directeur concernant un incident survenu en 2016.

L’ancien directeur nie catégoriquement cette allégation.

Un message diffusé sur la plateforme de communication interne Slack à tous les employés du Web Summit – environ 300 personnes,selon le tribunal – le 6 mars 2024,accusait l’actionnaire minoritaire d’avoir décidé « d’intervenir » au nom de l’ancien directeur,« conspirant intentionnellement » pour mal gérer l’enquête sur la plainte.

L’avocat a précisé que son client, ayant pris connaissance du message deux jours plus tard, avait mandaté ses avocats pour contacter le cabinet juridique, qui représentait le directeur général du Web Summit.Les avocats du directeur général du Web Summit ont reconnu que le message était « inapproprié » et « n’aurait pas dû être envoyé ».

Ils ont également déclaré que le message avait été envoyé par le « directeur des ressources humaines » du Web Summit « sous les instructions directes » du directeur général.

cela se passait à un moment où le directeur général avait « pris du recul par rapport à l’entreprise » après ses publications sur Israël, a déclaré l’avocat, et n’était « ostensiblement » pas censé avoir de rôle au sein du Web Summit.

L’avocat a expliqué au tribunal que l’actionnaire minoritaire, qui poursuit son ancien ami pour oppression des actionnaires et violation d’un accord de partage des bénéfices, et le directeur général s’étaient rencontrés à l’âge de 12 ans en tant qu’internes dans une prestigieuse abbaye.

ils avaient renoué leur amitié quelques années plus tard et « étaient proches » pendant un certain temps, chacun assistant au mariage de l’autre.

Le directeur général, qui organisait de petits événements sous la marque Web Summit en 2009, avait invité l’actionnaire minoritaire, qui vivait alors avec lui, à rejoindre l’entreprise en 2010.

leur relation s’est toutefois détériorée, et il y avait des différences dans leurs personnalités, notamment le fait que le directeur général est un « homme intense » qui semble « s’épanouir dans la controverse », a déclaré l’avocat. En revanche, l’actionnaire minoritaire « peut être stressé par les événements » et fait tout son possible pour éviter la confrontation.

Scandale au Web Summit : Un ancien PDG accusé de contrôle occulte après sa démission

L’ancien directeur général du Web Summit est au cœur d’une controverse juridique complexe, révélée lors d’une audience à la Haute Cour. Son départ en octobre 2023, suite à des publications controversées sur les réseaux sociaux concernant Israël et Gaza, cache une réalité plus trouble.

Le Retour Ombreux du PDG

Malgré sa démission et le remplacement temporaire par un autre directeur général, l’ancien PDG semble avoir maintenu un contrôle effectif sur l’entreprise. Un message Slack interne, envoyé le 6 mars 2024 sous ses instructions, accuse un actionnaire minoritaire d’ingérence dans une enquête interne. Ce message, considéré comme inapproprié par les avocats du PDG, démontre une implication active malgré sa supposée absence.

Un Conflit entre Amis de Jeunesse

L’affaire implique également un conflit personnel entre l’ancien PDG et un actionnaire minoritaire, amis d’enfance. Ce dernier accuse le PDG d’oppression des actionnaires et de violation d’un accord de partage des bénéfices, accusations que le PDG réfute. Leur relation, autrefois solide, s’est détériorée, mettant en lumière des personnalités contrastées : un PDG “intense” et un actionnaire minoritaire cherchant à éviter la confrontation.

Tableau Récapitulatif des Événements Clés

| Date | Événement | Acteurs impliqués |

|————|—————————————————–|————————————————-|

| Octobre 2023 | Publications controversées sur les réseaux sociaux | ancien PDG |

| Octobre 2023 | Démission du PDG | Ancien PDG, Web Summit |

| Novembre 2023 – Avril 2024 | Directeur général intérimaire | directeur général intérimaire, Web Summit |

| Mars 2024 | Message Slack controversé envoyé aux employés | Ancien PDG, DRH, Actionnaire minoritaire |

| Avril 2024 | Retour implicite du PDG au sein de l’entreprise | Ancien PDG |

| Actuellement | Procès à la Haute Cour | Ancien PDG, Actionnaire minoritaire |

FAQ

Q : Pourquoi le PDG a-t-il démissionné ?

R : Suite à des publications controversées sur les réseaux sociaux concernant Israël et Gaza, plusieurs sponsors se sont retirés du Web Summit.

Q : Quel est le rôle de l’actionnaire minoritaire dans ce conflit ?

R : Il accuse l’ancien PDG d’oppression des actionnaires et de violation d’un accord de partage des bénéfices.

Q : Quel était le contenu du message Slack controversé ?

R : Il accusait l’actionnaire minoritaire d’intervenir au nom de l’ancien PDG et de conspirer pour mal gérer une enquête interne.

Q : Quelle est la relation entre l’ancien PDG et l’actionnaire minoritaire ?

R : Ils étaient amis d’enfance, mais leur relation s’est détériorée.

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