Voici une traduction et adaptation de l’article, respectant les consignes fournies :
Un médecin voit son autorisation d’exercer retirée suite à des certificats controversés liés au Covid-19.
Jusqu’au 18 octobre 2024, un médecin exerçait dans son cabinet médical, prenant en charge plus de 2000 patients avec l’aide de neuf employés. Cependant,ce jour marque un tournant. L’autorité sanitaire cantonale lui retire avec effet immédiat son autorisation d’exploiter son cabinet.
Simultanément, son numéro d’identification est bloqué. Sans ce numéro, les caisses d’assurance maladie ne remboursent pas les prestations médicales. L’autorité sanitaire a ainsi mis fin à son activité indépendante. Il ne peut plus exercer qu’en tant qu’assistant d’un autre médecin.
Une telle mesure est rare, même en cas de fautes graves.
Que s’est-il passé ?
Fin 2021, en pleine période de crise sanitaire, le médecin a délivré des certificats à deux patientes et un patient, les exemptant des tests, de la vaccination ou du port du masque. Une patiente se plaignait de problèmes cardiaques et exprimait de fortes craintes concernant les effets secondaires de la vaccination contre le Covid-19. Le médecin l’a orientée vers un cardiologue tout en lui déconseillant de se faire vacciner.
Un autre patient,souffrant d’allergies et d’asthme,a reçu un certificat l’exemptant du port du masque dans les lieux publics.
Des dossiers médicaux caviardés
Table of Contents
Le médecin a justifié son action en expliquant que les vaccins étaient, selon lui, insuffisamment testés à l’époque et qu’il existait des indications de possibles effets secondaires, notamment des inflammations du muscle cardiaque, en particulier pour les personnes souffrant de problèmes cardiaques.
Le médecin avait déjà attiré l’attention des autorités. Des plaintes avaient été déposées contre lui auprès du médecin cantonal, car il n’avait pas pleinement mis en œuvre les mesures de protection contre le virus dans son cabinet. Il a pris position à ce sujet, ce qui a conduit l’autorité à classer l’affaire.
Cependant, les trois certificats ont été considérés par l’autorité sanitaire comme des « certificats de complaisance » injustifiés sur le plan médical, mettant en danger les patients et la sécurité publique. L’asthme, par exemple, n’est pas une raison valable pour une dispense de masque. De plus, les craintes concernant les risques et les effets secondaires ne justifient pas un certificat médical. La protection par la vaccination était recommandée,en particulier pour les patients cardiaques.
L’autorité lui reproche également d’avoir perdu sa crédibilité. Le médecin avait certes soumis les trois dossiers de patients, comme demandé, mais les entrées relatives aux consultations ultérieures, postérieures à la délivrance des certificats, avaient été caviardées. Selon lui, il s’agissait de données sensibles concernant les patients. Il ne voulait fournir que ce qui lui semblait réellement nécessaire à la décision de l’autorité.
L’autorité n’a pas excepté cela. Afin de pouvoir examiner de manière approfondie l’indication médicale des certificats médicaux délivrés, il est nécessaire de connaître à la fois les antécédents et les consultations ultérieures, a indiqué l’autorité.Un médecin suisse se voit retirer son autorisation d’exercer suite à des désaccords avec les autorités sanitaires concernant la gestion de dossiers de patients et des prescriptions de dispenses pendant la crise sanitaire.L’affaire soulève des questions sur la proportionnalité des sanctions et la rigueur des mesures appliquées dans le contexte particulier de la pandémie.
En octobre 2024, l’autorité sanitaire a décidé de retirer l’autorisation d’exercer du médecin, arguant qu’il avait gravement manqué à ses obligations de coopération en fournissant des dossiers de patients incomplets lors d’une enquête.
« Angesichts des Widerstands, den der Arzt in diesem Fall gegenüber dem Amt für Gesundheit geleistet hat, kann nicht davon ausgegangen werden, dass er sich in Zukunft beanstandungslos an die Vorgaben des Amts für Gesundheit halten wird », steht im Entscheid der Behörde.Vor diesem Hintergrund erweise sich Dr. med.Sergio dani als nicht mehr vertrauenswürdig.
La direction de la santé a confirmé cette décision suite à un recours du médecin.
L’avocat du médecin conteste la sévérité de la sanction, la qualifiant de disproportionnée. Il a fait appel auprès du tribunal administratif de Zurich. Il estime que des mesures moins radicales auraient été suffisantes, même si certains reproches étaient fondés.
Les autorités sanitaires, quant à elles, insistent sur leur devoir de faire respecter les règles et de sanctionner les manquements afin de protéger la santé publique.
L’affaire met en lumière une potentielle disparité de traitement par rapport à d’autres situations. Un exemple est cité, celui d’une clinique esthétique zurichoise où de graves manquements à l’hygiène et à la sécurité avaient été constatés lors d’une inspection en 2018. Malgré cela, et malgré le fait que le médecin ait refusé de fournir des dossiers complets, l’autorisation d’exercer ne lui avait pas été retirée immédiatement.
La direction de la santé se défend en expliquant que chaque cas est évalué individuellement, en tenant compte des circonstances spécifiques. Elle souligne que son service traite en moyenne 150 plaintes par an et qu’il est impossible de tirer des conclusions générales à partir de deux cas isolés.
Le médecin concerné se dit soulagé d’avoir trouvé une solution. Un patient, lui-même médecin, a proposé de racheter son cabinet et de l’employer comme assistant.
« Es ist erstaunlich.Er ist ein rettender Engel. Ich bin jetzt sein Assistenzarzt, unter seiner Verantwortung kann ich meine Patientinnen und Patienten wieder sehen », sagt Dani.
Il peut ainsi continuer à suivre ses patients sous la responsabilité de son successeur.Un médecin généraliste perd son autorisation d’exercer à cause d’attestations liées au Covid.
## Franchises médicales : ce qu’il faut savoir
Les franchises médicales représentent des sommes qui restent à la charge des assurés [[2]]. Elles s’appliquent sur certains frais de santé.
### Quels sont les frais concernés ?
Elles concernent les médicaments, les actes paramédicaux et les transports sanitaires [[2]].
### Quels sont les cas d’exemption ?
Les franchises ne s’appliquent pas aux transports d’urgence, ni aux médicaments et actes paramédicaux effectués dans le cadre d’une hospitalisation [[2]].
### Plafonds et limites
La franchise médicale est plafonnée à 4 euros par jour pour un même professionnel de santé et pour un même patient [[1]]. Par exemple, si un infirmier effectue plusieurs actes pour le même patient dans la même journée, la franchise ne pourra pas dépasser ce montant [[1]]. il existe également une limite annuelle de 50 euros [[3]].
Un Médecin Suisse Perd Son Autorisation d’Exercer Suite à des Controverses sur les Certificats Covid-19
Un médecin suisse a vu son autorisation d’exercer retirée en octobre 2024, suite à des différends avec les autorités sanitaires concernant la délivrance de certificats médicaux liés à la pandémie de Covid-19. Cette décision soulève des questions sur la proportionnalité des sanctions et met en lumière un cas où des aspects de la gestion de dossiers patients ont été mis en cause.
Le Contexte de la Décision
Le médecin exerçait dans son cabinet médical,prenant en charge plus de 2000 patients,assisté de neuf employés. Le 18 octobre 2024, l’autorité sanitaire cantonale a retiré son autorisation d’exploiter son cabinet avec effet immédiat, bloquant également son numéro d’identification. Cela l’a empêché d’exercer en tant que médecin indépendant,ne lui permettant plus d’exercer qu’en tant qu’assistant.
Les Certificats Contestés et les Raisons de la Sanction
La cause de cette sanction est la délivrance par le médecin de trois certificats médicaux en 2021, en pleine crise sanitaire.Ces certificats dispensaient deux patientes et un patient de certaines mesures de protection contre le Covid-19, telles que les tests, la vaccination et le port du masque.
Exemple 1: Une patiente se plaignant de problèmes cardiaques a reçu un certificat pour ne pas se faire vacciner.
Exemple 2: Un patient souffrant d’allergies et d’asthme a été dispensé du port du masque.
L’autorité sanitaire a qualifié ces certificats de “certificats de complaisance” médicalement injustifiés, mettant en danger les patients et la sécurité publique. De plus, le médecin a été accusé d’avoir caviardé des dossiers médicaux, en supprimant des informations sur les consultations postérieures aux certificats. L’autorité sanitaire a considéré que ce manque de coopération entravait l’évaluation de la validité des certificats.
Les Arguments du Médecin
Le médecin a justifié ses actions, notamment en invoquant le manque de recul sur les vaccins et l’existence, selon lui, de possibles effets secondaires, notamment chez les patients cardiaques. Il a également prétendu avoir protégé les données sensibles de ses patients en caviardant les dossiers.
La Décision et ses Conséquences
L’autorité a confirmé la décision de retrait de l’autorisation d’exercer, arguant que le médecin avait manqué à ses obligations de coopération.La direction de la santé a maintenu cette décision après que le médecin a déposé un recours. L’avocat du médecin conteste la sévérité de la sanction et a interjeté appel devant le tribunal administratif de Zurich, la jugeant disproportionnée.
Comparaison et Réactions
L’affaire soulève des questions sur la proportionnalité de la sanction. un exemple de clinique esthétique zurichoise, confrontée à des manquements graves en matière d’hygiène et de sécurité, n’avait pas subi de retrait immédiat de son autorisation, malgré un refus de fournir des dossiers complets.
Face à ces disparités, la direction de la santé précise que chaque cas est évalué individuellement.Le médecin concerné a trouvé une solution : un patient, également médecin, a proposé de racheter son cabinet et de l’employer en tant qu’assistant.
FAQ : Questions Fréquentes
Pourquoi le médecin a-t-il perdu son autorisation d’exercer ?
Il a été sanctionné pour avoir délivré des certificats liés au Covid-19 jugés non justifiés et pour avoir refusé de fournir des dossiers médicaux complets.
Que sont les certificats de complaisance ?
ce sont des certificats médicaux délivrés sans justification médicale valable, considérés comme mettant en danger les patients et la sécurité publique.
Le médecin peut-il encore exercer ?
Oui, il peut travailler en tant qu’assistant sous la responsabilité d’un autre médecin.
L’avocat du médecin conteste-t-il la décision ?
Oui, il estime la sanction disproportionnée et a fait appel.
* Les autorités sanitaires justifient-elles la sanction ?
Oui, en invoquant la nécessité de protéger la santé publique et l’importance de faire respecter les règles.
Tableau Récapitulatif : les Causes de la Sanction
| Élément | Description |
| :——————————————- | :———————————————————————————————————————————————— |
| Certificats controversés | Délivrance de certificats exemptant des patients de certaines mesures covid (tests, vaccination, port du masque). |
| Justification des certificats | Arguments basés sur les effets secondaires des vaccins et les craintes des patients, jugés non valables par les autorités. |
| Manque de coopération | Caviardage de dossiers médicaux, entravant l’évaluation de la validité des certificats. |
| Conséquences | Retrait de l’autorisation d’exercer. |