Le Secrétaire général des Nations Unies, António Guterres, est rentré du Brésil à Bakou, en Azerbaïdjan, tôt dans la matinée du jeudi 21 novembre.
Cet après-midi-là, il a été informé lors de la vingt-neuvième Conférence des Nations Unies sur les changements climatiques (COP29) par le secrétaire exécutif de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques, Simon Stiell, ainsi que par son conseiller spécial pour l’action climatique, Selwin Hart. Cela a été suivi d’une brève réunion avec Hisham Badr, ministre adjoint chargé des partenariats stratégiques, de l’excellence et des initiatives de l’Égypte.
En début d’après-midi, le Secrétaire général a eu une rencontre presse au cours de laquelle il a noté que la conférence était « jusqu’au bout ». Il a souligné que ce dont nous avons besoin est clair : un accord sur un nouvel objectif ambitieux en matière de financement climatique à Bakou dans le contexte d’un ensemble équilibré de décisions.
Le secrétaire général a fait appel directement aux ministres et aux négociateurs pour adoucir leurs lignes dures et surmonter leurs différences. Et il leur a demandé de garder les yeux tournés vers la situation dans son ensemble.
Le Secrétaire général a également souligné que le financement n’est pas un cadeau ; c’est un investissement. Il s’agit d’un investissement contre la dévastation que le chaos climatique incontrôlé nous infligera à tous. C’est aussi un acompte sur un avenir plus sûr et plus prospère pour chaque nation de la Terre.
Après la rencontre avec la presse, le Secrétaire général a eu une série de réunions bilatérales, à commencer par l’Envoyé américain pour le climat, John Podesta. Cela a été suivi d’une réunion avec le commissaire de l’Union européenne chargé du climat, du zéro net et de la croissance propre, Wopke Hoekstra. Il a ensuite rencontré le secrétaire d’État britannique chargé de la sécurité énergétique et du net zéro, Ed Miliband. La réunion suivante a eu lieu avec la ministre de l’Environnement du Brésil, Maria Osmarina Marina da Silva Vaz de Lima.
Le Secrétaire général a ensuite rencontré des représentants de l’Alliance des petits États insulaires et, en fin de journée, il a rencontré le président de la COP, Mukhtar Babayev.
Le lendemain, le Secrétaire général a rencontré la délégation chinoise. Il a ensuite participé à la réunion de coordination ministérielle de l’Union européenne. Il a ensuite eu une brève réunion avec l’équipe de pays des Nations Unies. Cela a été suivi d’une réunion avec la délégation de l’Inde puis de l’Australie. Il a ensuite rencontré le ministre des Forêts, de la Pêche et de l’Environnement de l’Afrique du Sud, Dion George.
Il a également rencontré ce jour-là la délégation kenyane puis le ministre ougandais en tant que président du Groupe des 77.
Dans l’après-midi, le Secrétaire général a rencontré la délégation de la Fédération de Russie. Cela a été suivi d’une séance photo avec les bénévoles travaillant à la conférence.
Le secrétaire général a ensuite passé plusieurs appels téléphoniques aux dirigeants qui n’étaient pas présents à la COP29. En fin de journée, il a de nouveau rencontré le président de la COP29.
Le Secrétaire général est parti pour New York aux premières heures du samedi 23 novembre.