Plus tôt, le PDG de SPAR avait parlé dans une interview de la pression exercée par le gouvernement hongrois sur eux pour qu’ils donnent des actions à la famille Orbán.

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Récemment, István Tiborcz, le gendre de Viktor Orbán, a tenté d’acheter SPAR en Hongrie, mais l’offre a été rejetée par les propriétaires autrichiens, écrit le journal. VScarré bulletin d’information citant des sources commerciales.

Le journal ajoute que Tiborcz n’était pas le premier enchérisseur, car il y a plus d’un an, des représentants de la famille Rahimkulov, d’origine russe et vivant en Hongrie, ont approché les propriétaires de SPAR avec une offre d’achat qui, selon eux, était également soutenue par le gouvernement Orbán.

Les relations entre le gouvernement et SPAR se sont détériorées après que l’entreprise a déposé une plainte auprès de la Commission européenne début mars concernant la taxe spéciale sur le commerce de détail en Hongrie, puis la Die PresséLe PDG Hans Reisch a parlé de la pression exercée par le gouvernement Orbán sur lui pour qu’il donne une participation à la famille du Premier ministre. Le gouvernement a réagi en faisant pression sur l’entreprise, ce qu’il a considéré comme une fausse nouvelle, mais János Lázár a ensuite menacé SPAR avec un ton inhabituellement dur.

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Lázár a expliqué à SPAR quel genre de gars ils étaient au Fidesz

Lors d’une conférence, János Lázár s’est livré à son passe-temps favori, jouer au multis, mais cette fois, le ministre de la Construction et des Transports a également expliqué en détail ses relations avec les investisseurs internationaux, indispensables à l’économie hongroise. Spoiler : c’est un euphémisme, cette relation est contradictoire.

Márton Nagy a alors convoqué le directeur du SPAR et l’a averti que chaque déclaration avait des conséquences. Balázs Orbán, le directeur politique du Premier ministre, a déclaré la semaine dernière qu’ils cherchaient la possibilité d’obtenir satisfaction par des moyens légaux.