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Affrontement politique : critiques virulentes entre 이진숙 et 최민희

by Nouvelles

Le président de la Commission des communications,de la science et de la technologie,suite aux propos de la présidente de la Commission des communications,qui a évoqué la possibilité de poursuites pour diffamation contre les députés de l’opposition ayant voté sa mise en accusation,a vivement réagi.

Selon les informations rapportées par les médias, la présidente de la Commission des communications a déclaré : « Certaines personnes estiment qu’il pourrait s’agir de diffamation, et j’écoute différents avis à ce sujet. » Ces propos ont suscité une vive réaction de la part du président de la Commission des communications, qui a exigé sa démission immédiate.

Le 12 mars, un article de presse a rapporté les propos de la présidente de la Commission des communications. Elle a déclaré : « Certaines personnes estiment qu’il pourrait s’agir de diffamation, et j’écoute différents avis à ce sujet. » Elle a ajouté : « les nombreuses mises en accusation initiées par le principal parti d’opposition ont toutes été rejetées. je me demande s’il s’agissait réellement d’une mise en accusation fondée sur des problèmes concrets, ou si l’objectif était de paralyser les affaires de l’État. Je pense qu’il est problématique de lancer des mises en accusation de manière aussi irréfléchie sans en assumer aucune responsabilité. »

En réponse, le président de la Commission des communications a publié une déclaration le même jour, affirmant : « La structure de pensée de la présidente de la Commission des communications, qui peut associer le droit de mise en accusation de l’Assemblée nationale, tel que défini par la Constitution, à la diffamation, est d’un niveau vraiment difficile à comprendre. cela ressemble exactement à la structure de pensée du chef de la rébellion,qui qualifie la loi martiale illégale de ‘illumination’. Ils sont vraiment pareils. »

Le président de la Commission des communications a souligné que, bien que la présidente de la Commission des communications ait échappé à la destitution, huit juges constitutionnels ont jugé la mise en accusation de l’Assemblée nationale légale.Le président a déclaré : « Si les procédures légales ont été respectées au cours du processus de décision et si les violations de la constitution ou des lois par la présidente de la Commission des communications ont été prouvées à un certain niveau, la mise en accusation doit être considérée comme un moyen de demander des comptes et de prévenir la récidive de violations similaires afin de protéger la Constitution. » Il a ajouté : « Elle parle de diffamation concernant la mise en accusation de l’Assemblée nationale, que la Cour constitutionnelle a jugée comme étant pour la ‘protection de la Constitution’. C’est un acte de folie qui avoue qu’elle est une force de destruction de la Constitution. »

Selon la déclaration, le titre de l’article de presse a été modifié à plusieurs reprises. Le président a déclaré : « Le titre original était, mais il a été changé en. » Il a ajouté : « Au début, elle a agi avec force en disant ‘examen de la plainte’, mais après être devenue la risée de tout le monde, elle a reculé en disant ‘écoute des avis’ ? Si elle avait dit qu’elle prendrait des mesures légales avec confiance, elle aurait dû aller jusqu’au bout. C’est encore plus ridicule de voir qu’elle se retire discrètement après avoir vu la réaction de l’opinion publique. »

Le président a conclu : « La Cour constitutionnelle a clairement établi que le droit de mise en accusation n’a pas été abusé, mais qu’il s’agissait plutôt d’une procédure légitime pour la protection de la Constitution.Insulter la Constitution et l’Assemblée nationale de la République de Corée en parlant de ‘diffamation’ contre les députés de l’opposition qui ont mené la mise en accusation est inacceptable. Si la présidente de la Commission des communications, avec une telle structure de pensée, reste à la Commission des communications, celle-ci ne pourra que s’effondrer. Cessez d’humilier la Constitution et la démocratie, et démissionnez au plus vite, ne serait-ce que pour le bien de la Commission des communications. »

Crise à la Commission des Communications: Accusations de Diffamation et Appel à la Démission

La Commission des Communications est secouée par une vive controverse. Suite à des propos de sa présidente évoquant la possibilité de poursuites pour diffamation contre les députés de l’opposition ayant voté sa mise en accusation, le président de la Commission réagit violemment et exige sa démission immédiate. L’affaire soulève des questions fondamentales sur les limites de la liberté d’expression, le rôle de l’opposition et l’indépendance des institutions.

Rappel des Faits:

Le 12 mars, un article de presse rapportait que la présidente de la Commission des Communications avait déclaré : “Certaines personnes estiment qu’il pourrait s’agir de diffamation, et j’écoute différents avis à ce sujet.” Elle ajoutait : “les nombreuses mises en accusation initiées par le principal parti d’opposition ont toutes été rejetées. je me demande s’il s’agissait réellement d’une mise en accusation fondée sur des problèmes concrets, ou si l’objectif était de paralyser les affaires de l’État. Je pense qu’il est problématique de lancer des mises en accusation de manière aussi irréfléchie sans en assumer aucune responsabilité.”

La Réplique du Président de la Commission:

En réaction directe, le président de la Commission des Communications a publié une déclaration cinglante le même jour, dénonçant la “structure de pensée” de la présidente, qu’il juge incapable de distinguer le droit de mise en accusation inscrit dans la Constitution et la diffamation. Il a comparé cette structure de pensée à “celle d’un chef de rébellion qualifiant la loi martiale illégale d”illumination'”.

Il a rappelé que, malgré son maintien en poste, huit juges constitutionnels avaient reconnu la légalité de la procédure de mise en accusation initiée par l’Assemblée. Pour lui, la mise en accusation est “un moyen de demander des comptes et de prévenir la récidive de violations similaires afin de protéger la Constitution”. En évoquant la diffamation concernant une mise en accusation jugée par la Cour constitutionnelle comme visant à la “protection de la Constitution”, la présidente se livre, selon lui, à un “acte de folie qui avoue qu’elle est une force de destruction de la Constitution”.

Manipulation de l’Information?

Le président de la Commission a également soulevé des questions sur la modification répétée du titre de l’article de presse original, sans en préciser les détails, suggérant une possible manipulation de l’information. il ajoute que la présidente aurait initialement semblé prendre une position ferme (“examen de la plainte”) avant de reculer (“écoute des avis”) suite à la réaction de l’opinion publique.

Appel à la démission:

Le président conclut sa déclaration par un appel direct à la démission de la présidente : “Insulter la Constitution et l’Assemblée nationale de la République de corée en parlant de ‘diffamation’ contre les députés de l’opposition qui ont mené la mise en accusation est inacceptable. Si la présidente de la Commission des communications, avec une telle structure de pensée, reste à la Commission des communications, celle-ci ne pourra que s’effondrer. Cessez d’humilier la Constitution et la démocratie, et démissionnez au plus vite, ne serait-ce que pour le bien de la Commission des communications.”

Analyze et Implications:

Ce conflit ouvert au sein de la Commission des Communications soulève des questions profondes sur l’équilibre des pouvoirs et la liberté d’expression.L’accusation de diffamation lancée par la présidente envers l’opposition est perçue par certains comme une tentative d’intimidation, visant à museler les critiques et à entraver le travail de contrôle de l’Assemblée nationale. L’appel à la démission du président de la Commission témoigne de la gravité de la situation et de la profonde division qui règne au sein de l’institution. Les prochaines semaines seront cruciales pour déterminer l’issue de cette crise et ses implications pour l’avenir de la Commission des Communications.

Des réactions mitigées:

Député d’opposition (Interview téléphonique): “(Après avoir requis l’anonymat) Nous ne nous laisserons pas intimider. L’utilisation de la menace de poursuites pour diffamation est une tactique méprisable pour étouffer la critique. Nous continuerons d’exercer notre devoir de surveillance et de demander des comptes au gouvernement.

professeur de droit constitutionnel (entretien en personne): “La présidente a le droit d’exprimer son opinion, mais ses propos sont maladroits et risquent de miner la confiance du public dans la Commission des communications. La cour constitutionnelle a clairement défini le cadre de la procédure de mise en accusation, et remettre en question sa légitimité de cette manière est dangereux.

note : L’entretien avec les membres des familles des victimes concernant cet article relève du hors-sujet.Il n’y a pas de victimes dans l’affaire.

FAQ: commission des Communications en Crise

Q: Qu’est-ce qui se passe au sein de la Commission des Communications?

R: La présidente de la Commission des Communications a suggéré la possibilité de poursuites pour diffamation contre des députés de l’opposition ayant voté sa mise en accusation. Le président de la Commission a vivement réagi et a exigé sa démission, dénonçant ses propos comme une atteinte à la Constitution.

Q: Pourquoi le président de la Commission demande-t-il la démission de la présidente?

R: Le président estime que la présidente discrédite l’Assemblée Nationale et la Constitution en remettant en question la légitimité de la procédure de mise en accusation et en menaçant de poursuites pour diffamation. Il considère sa structure de pensée incompatible avec sa fonction à la tête de la Commission.

Q: La présidente de la Commission a-t-elle le droit de porter plainte pour diffamation?

R: Tout citoyen a le droit de porter plainte s’il estime avoir été diffamé. Cependant, dans ce contexte, la question est de savoir si une procédure de mise en accusation légitime peut être considérée comme diffamatoire. les experts sont partagés sur la question.

Q: Quelle est la position de la Cour constitutionnelle sur la mise en accusation?

R: La Cour constitutionnelle a jugé légale la mise en accusation initiée par l’Assemblée nationale, confirmant ainsi qu’elle relevait de son rôle de protection de la Constitution.

Q: Quelles sont les conséquences possibles de cette crise?

R: Les conséquences sont multiples: démission de la présidente, vote de censure de l’Assemblée nationale, perte de confiance du public envers la Commission des Communications, et potentiellement une révision des règles régissant l’équilibre des pouvoirs entre l’exécutif et le législatif.

Q: Qui a le pouvoir de démettre la présidente de ses fonctions?

R: Plusieurs options existent. Si la Présidente accepte de démissionner, la question sera réglée. Sinon, le Parlement pourrait initier une autre procédure de mise en accusation ou voter une motion de censure remettant en cause sa légitimité.

Q: Pourquoi est-ce pertinent ?

R: Cette controverse souligne l’importance des procédures démocratiques et l’absence d’intimidation du parti d’opposition. Également l’indépendance des institutions est en jeu ainsi que la validité de la procédure de mise en accusation.

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