Anna Sophie Herken, membre du conseil d’administration de la GIZ, parle de la coopération au développement

Anna Sophie Herken a récemment rejoint le conseil d’administration de la Société pour la coopération internationale. Elle veut donner aux pays en développement un avenir digne d’être vécu et rendre l’aide au développement allemande plus féminine.

Madame Herken, vous travaillez dans le secteur de la finance et des assurances depuis des années. Qu’est-ce qui vous a attiré vers l’aide au développement ?

Pour moi, c’est un retour car je suis originaire de cette région : j’ai travaillé pour la Banque mondiale à Washington sur des projets en Inde et en Afrique, puis à la Banque européenne pour la reconstruction et le développement. Durant mes années au ministère fédéral de l’Économie, j’ai travaillé sur le Sommet mondial de l’ONU sur le développement durable, sur le commerce mondial et sur les questions du G8.

Plus récemment, vous avez occupé des postes de direction et siégé aux conseils de surveillance du groupe Allianz aux États-Unis et en Chine. Comment cela s’intègre-t-il ?