Parfois diaphane, parfois d’une sensualité volontaire et sauvage, mais toujours impénétrable, mystérieuse : il s’agissait de Nicole Françoise Dreyfus, que l’on connaissait sous le nom d’Anouk Aimée, née en 1932. Le nom vient d’un personnage qu’elle incarnait lorsqu’elle avait 13 ans. Le surnom, tel qu’on l’appelait dans les cercles cinématographiques français, était un cadeau du poète Jacques Prévert. Parce que, pensait-il, Anouk méritait et voulait être aimée (aimée).
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