Après une rencontre avec les talibans… inquiétude internationale sur la situation des femmes en Afghanistan

La réunion de deux jours dirigée par l’ONU est la première du genre à laquelle participent les talibans, qui n’ont pas reçu de reconnaissance internationale depuis qu’ils ont pris le pouvoir en 2021 avec le retrait des forces dirigées par les États-Unis après 20 ans de guerre.

Depuis que les talibans sont revenus au pouvoir, ils ont empêché la plupart des filles et des femmes de s’inscrire dans les écoles secondaires et les universités.

Les talibans ont également empêché la plupart des employées afghanes de travailler dans les agences humanitaires, fermé les salons de beauté, empêché les femmes d’entrer dans les parcs et exigé la présence d’un mahram masculin pour permettre aux femmes de voyager.

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DiCarlo a ajouté dans un communiqué à l’issue de réunions dans la capitale qatarie, Doha, avec des responsables talibans : « L’Afghanistan ne peut pas revenir sur la scène internationale, ni se développer pleinement économiquement et socialement s’il est privé des contributions et des capacités de la moitié de sa population. »

“Au cours de toutes les discussions, une profonde préoccupation internationale a émergé, de la part des envoyés spéciaux et de moi-même, concernant les restrictions graves et continues imposées aux femmes et aux filles”, a poursuivi DiCarlo.

DiCarlo a expliqué que la communication qui a eu lieu dimanche et lundi avec les autorités talibanes ne signifiait pas une reconnaissance de leur gouvernement, mais faisait partie d’un effort plus large de la communauté internationale pour résoudre les problèmes auxquels sont confrontés des millions d’Afghans.

La réunion de deux jours dirigée par l’ONU est la première du genre à laquelle participent les talibans, qui n’ont pas reçu de reconnaissance internationale depuis qu’ils ont pris le pouvoir en 2021 avec le retrait des forces dirigées par les États-Unis après 20 ans de guerre.

Depuis que les talibans sont revenus au pouvoir, ils ont empêché la plupart des filles et des femmes de s’inscrire dans les écoles secondaires et les universités.

Les talibans ont également empêché la plupart des employées afghanes de travailler dans les agences humanitaires, fermé les salons de beauté, empêché les femmes d’entrer dans les parcs et exigé la présence d’un mahram masculin pour permettre aux femmes de voyager.