Aston Martin, Bentley, Mercedes ? Seul un cabriolet passe le test du luxe

FPour certains, le moteur thermique classique est dépassé. Vu sous cet angle, ce texte est dédié à un dinosaure automobile : le cabriolet. Aujourd’hui, les voitures doivent offrir de l’espace, être universellement utilisables et pratiques – d’où la popularité du SUV. C’est d’autant plus difficile pour le cabriolet qu’il s’agit du seul type de voiture particulière qui n’a jusqu’à présent pratiquement pas été touché par le thème de l’électromobilité. Il semble que les fabricants remettraient en question l’existence continue du cabriolet de toute façon.

En fait, les cabriolets sont en train de disparaître. Dans le segment de prix moyen et inférieur, de nombreux modèles n’ont pas été réédités ces dernières années. Ils ne sont plus lucratifs pour les constructeurs de masse comme Opel, Renault et VW. Au lieu de cela, ils s’appuient sur des modèles avec des chiffres de vente élevés. La demande diminue parce que beaucoup de gens aujourd’hui ne peuvent plus se permettre ou ne veulent plus une deuxième ou une troisième voiture. Sauf pour ceux qui ont plus qu’assez d’argent et qui voient l’automobile comme un passe-temps.

Et c’est ainsi qu’il existe la plus grande variété d’offres au-delà d’un prix d’achat de 100 000 euros. Parce que le cabriolet “dinosaure” vaut toujours la peine pour la classe supérieure et les fournisseurs de luxe. WELT a donc testé trois modèles très atypiques pendant quelques semaines dans le quotidien estival. Chacun de ces véhicules est une voiture de rêve – avec un prix élevé en conséquence. Chacun révèle que conduire un cabriolet peut être un luxe totalement inutile, mais d’autant plus beau.