2025-03-10 09:21:00
Pour l’ironie du sort, le quatrième but de Lookman provient d’une diapositive de Vlahovic, une synthèse symbolique d’un rendu sans condition. Une application reste sur Atalanta, formidable (33 points en 15 matchs), tranche à la place de “Draw” quand il joue à la maison. Avec Inter, dimanche à Bergame, ce sera la preuve des neuf.
Conte répond à Inzaghi
Et Napoli? Lors de la tentative d’échapper à l’Inter, les Napolitains ont répondu (2-1) une Fiorentina qui n’a pas très démissionné au rôle de la victime. Surtout dans la seconde moitié, les hommes de Conte, débordant au début, ont eu du mal à se ramener à un point d’Inter. Disons que Napoli a gagné plus que le cœur que la technique, mais que beaucoup voulait le nombre qui a finalement vu Lukaku revenir au but. Lorsque le Belge Gigantone recommence à violer, car Antonio sont une bonne nouvelle car presque toujours si le bombardier marque Napoli, ce qui ne s’est pas produit depuis cinq jours. Après le doublement de Raspadori, les hôtes se sont retrouvés en difficulté à subir le retour de la alto pour marquer avec Gudmundssson. L’objectif était de rester à la suite de l’Inter, la mission Qundi a pris fin. Un point de détachement n’est rien, même si maintenant, après le poker de Turin, le souffle sur le cou d’Atalanta le ressent.
Inter donne des signaux contradictoires. D’une part, positif, car laisser le piège Monza indemne est un signe de force et de maturité. D’un autre côté, à la place, plutôt négatif. 3 à 2 dans le retour ne se rassure pas. L’effet de présomption peut être vu. À laquelle s’ajoute la fatigue logique pour une saison de plus en plus exigeante. Et même l’âge, pour ces efforts, commence à avoir un poids, celui de l’Inter est sur trente ans. Quelques rides non seulement de la réflexion est claire. Surtout dans la routine du championnat.
Bologne et Rome continuent de broyer les points
Le rossobblù galop maintenant. Surmonter (2-1) Vérone, ils ont atteint le Lazio à 50 ans. Les réseaux d’Odgaard et de Cambiaghi plient les Vénitiens (sont restés dans dix en deuxième mi-temps pour Rosso à Valentini) et catapultent l’équipe italienne dans la région de la Ligue des champions. Un chemin extraordinaire, celui de Bologne, qui n’est pas des limites, en effet.
La même chose pour les Roms de Ranieri, de plus en plus en ascension. Maintenant, après avoir battu Empoli (grâce au réseau de Soulè après 30 secondes), les Gallorossi sont septième à 46 points, devant Fiorentina et Milan. À la Roma, tout est facile, grâce au travail précieux de Ranieri qui rend les choses compliquées simples. L’opposé de Milan qui, d’autre part, rend les simples compliqués. Les pauvres partisans de Rossoneri endurent les émotions aux limites de la réalité. En scolarité, l’initiale 2-0 de LeCCE était une expérience d’hypnose collective encore inexplicable. Comme ils ne l’expliquent pas, ces erreurs défensives continues qui forcent ensuite des retours fous. Tout est absurde, comme cela aurait été absurde, en cas de défaite, d’envoyer via Conceicao. À ce stade, vous devez le garder même si de temps en temps vous inventez quelques bizarreries. Comme Fonseca qui, en France, a pris neuf mois de disqualification pour avoir menacé l’arbitre. AC Milan n’est pas clair qui il commande. Cardinal et Furlani, propriétaire et PDG du club, continuent de faire le haut. Depuis 15 jours, ils nous ont dit que le nouveau directeur sportif arrive. Il y avait d’abord trois papiles, maintenant ils sont devenus cinq. Commentaire d’un fan: qui prendra? Le plus rare.
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