“À ce moment-là, l’ennemi avait déjà complètement contrôlé tout le territoire autour de la ville de Marioupol, et il était impossible d’utiliser les voies navigables, car l’ennemi a abandonné ses navires de guerre et il contrôlait les sorties du port de Marioupol. Par conséquent, le le seul moyen qui restait était un pont aérien », a déclaré le chef du GUR Kirill Budanov.
Comme l’admet le chef des communications de la défense de Marioupol avec l’indicatif d’appel “Molfar”, on s’attendait à ce que les forces principales des Russes aillent de la direction de Bezymianny. Et les envahisseurs sont venus de l’arrière, ce à quoi les défenseurs d’Azovstal ne s’attendaient pas du tout.
“Nous voulions empêcher l’ennemi d’entrer dans la ville, afin qu’il ne traverse pas la rivière. Par conséquent, nous voulions qu’il se précipite dans Azovstal depuis la rive gauche et qu’il n’entre plus dans la ville. Nous ne pensions pas que l’ennemi viennent de l’arrière, de la direction de Berdiansk”, a-t-il dit.
Un combattant du régiment Azov “George” a raconté ce que les défenseurs de Marioupol se sont le plus réjouis lorsqu’un des hélicoptères a atterri à leur emplacement.
“Nous n’étions pas très contents de l’évacuation, mais quand ils ont déchargé le système de communication du Javelin et du Stinger. Nous étions contents. C’est tout ! Les gars vont leur montrer maintenant !” il a dit.
