L’OCHA a souligné que malgré une baisse significative, les besoins humanitaires restent importants en 2024 en Centrafrique.
«Ce pays d’Afrique centrale compte l’une des plus grandes proportions de personnes en situation d’insécurité alimentaire critique dans le monde», a déclaré l’organisme, précisant que dans plusieurs régions du pays, les acteurs humanitaires sont souvent les seuls à assurer l’accès aux services sociaux de base tels que la santé et l’éducation.
«Dans ce contexte, lorsque l’aide humanitaire qui vise à atténuer les conséquences d’un choc récent se termine, le manque de relais à long terme par des acteurs mieux adaptés plonge la population dans un cycle de dépendance», a remarqué l’OCHA citée par Faapa.
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