2024-04-19 05:29:57
Le pavillon espagnol a connu un succès vorace à la Biennale de Venise de cette année. Toutes les conversations s’y déroulent. D’une part, la « Pinacothèque des migrants » de Sandra Gamarra Heshiki, organisée par Agustín Pérez Rubio, concentre sans vergogne les valeurs qui génèrent inconfort et irritation, mais aussi transferts intérieurs et conversations constructives, dans l’art contemporain. D’autre part, la position du pavillon lui-même lui permet de donner le ton aux visiteurs de l’ensemble de la « Biennale ». Si la foire était le livre d’art contemporain en deux volumes – le « Giardino » et l’« Arsenale » -, le pavillon espagnol remplacerait le chapitre du premier volume. C’est la première à gauche après l’entrée principale ; l’endroit où… Voir plus
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Biennale de Venise : le carnaval de la postcolonialité
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