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Blackbraid – Blackbraid II – HeavyPop.fr

Blackbraid – Blackbraid II – HeavyPop.fr

2023-10-10 13:46:55

de Olivier
le 10 octobre 2023
dans l’album

Le Représentation au festival Midgardsblot Rétrospectivement, cela détourne l’attention du fait que Jon Krieger alias Sgah’gahsowáh est avec nous. Tresse noire II remplit pratiquement toutes les promesses que le premier album n’a pas pu tenir l’année dernière.

L’album numéro 2, d’une durée de 66 minutes, le fait d’une manière trop détaillée (alors que la construction globale est trop brouillonne). Tresse noire I ça ressemble toujours à un EP) car, à proprement parler, le disque comporte quelques longueurs et aurait pu être raccourci à de nombreux endroits pour aller droit au but.
Cependant, c’est là, au moins relativement parlant, le plus gros point de critique (ainsi que des points de discussion subjectivement identifiables : par exemple la production trop propre mais vraiment puissamment captivante ; le positionnement stylistique fondamentalement peu original dans le sillage mélodique du black metal. de Agalloch et celui de la fin, derrière le point réellement idéal, car absolument rond, final Tristesse et passage du temps et de la mémoire même couvert Bathory; ou le fait que les tendances aux grognements gutturaux et catastrophiques dans Os couverts de mousse sur l’autel de la Lune j’aurais aimé qu’on y fasse plus que brièvement allusion – mais c’est important Hymne crépusculaire du sang ancien plus tard avec une finale merveilleusement thrashy !) mais dans une mesure limitée dans l’augmentation du poids.

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De l’intro du folklore acoustique Coeurs automnaux en feu et celui qui s’empare furieusement du sujet et le lance avec muscle L’Esprit revient fait disparaître Tresse noire II avec des arcs mélodiques semblables à des hymnes, crachant si venimeux et immédiatement accrocheurs avec des qualités toujours élevées – en tout cas, tout est meilleur que son prédécesseur, a un flux global harmonieux avec une dynamique intense, déborde d’un sentiment d’épopée immanente – les guitares en particulier, ils se surpassent toujours avec des motifs héroïques. Le chant méchant a aussi un mordant agressif, la section rythmique crée un entraînement passionnant.
Et là où l’interprétation est impeccable, l’écriture des chansons est aussi structurellement plus sophistiquée, plus variable et extrêmement divertissante, tandis que l’aspect natif, assimilé en termes de technologie sonore, s’est depuis longtemps débarrassé de tous les aspects fantaisistes, et pas seulement dans des intermèdes comme ceux qui s’adressent explicitement à ce sujet Sorts de Lune et de Terre ou Passage Céleste à porter de manière plus explicite, mais aussi dans des incursions comme Un chant de mort sur les vents de l’aube est tissé de manière très atmosphérique et approfondit le caractère du disque.
Il en va de même pour les discussions ailleurs sur l’authenticité de Tresse noiresur les stéréotypes culturels et le rôle des studios de production dans le battage médiatique autour du projet individuel, ceux-ci passent en fait à côté de l’essentiel : Tresse noire II Malgré tout le bruit de fond, il s’agit en fait de l’un des véritables moments forts du genre en 2023, et il est proclamé presque partout.

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#Blackbraid #Blackbraid #HeavyPop.fr
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