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Blake Lively Lively contre Justin Baldoni entre dans le tour suivant: Mutual Agitation Campaign?

by Nouvelles

2025-02-05 21:07:00

Auf Seite 16 wird es laut. „Was fällt dir ein, meine Frau nach ihrem Gewicht zu ­fragen? Was ist dein Problem?“, soll der Hollywoodstar Ryan Reynolds den Schauspieler und Regisseur Justin Baldoni im Frühjahr 2023 angeschrien haben. Bal­doni drehte damals mit Reynolds’ Ehefrau Blake Lively das Filmdrama „Nur noch ein einziges Mal“. Laut der „Timeline der relevanten Geschehnisse“, die der Filmemacher nach gegenseitigen Verleumdungsklagen vor einigen Tagen veröffentlichte, hatte Reynolds ihn zur Aussprache in sein Penthouse in Manhattan zitiert.

Während der Vorbereitung einer Szene, bei der Baldonis Ryle die von Lively gespielte Lily heben sollte, hatte Baldoni einen gemeinsamen Fitnesstrainer nach ihrem Gewicht gefragt. Nach früheren Bandscheiben­wölbungen wollte der Einundvierzigjährige angeblich gezielt seine Rückenmuskulatur trainieren, um Ver­letzungen oder Stürze zu vermeiden. Alles nur ein Missverständnis? Oder doch das von Reynolds unterstellte Fat-Shaming nach Livelys vierter Schwangerschaft?

„Die Gesetze sind ziemlich eindeutig“

Während die Fans rätseln, hat ein Bundesgericht in New York weiteren Enthüllungen vorerst einen Riegel vorgeschoben. Bei der ersten Anhörung in der Causa ­Lively gegen Baldoni ermahnte der Vorsitzende Richter Lewis Liman in dieser Woche beide Seiten, sich bei dem als „Litigation-PR“ bekannten Schlagabtausch in der Öffentlichkeit zurückzuhalten. „Die Gesetze sind ziemlich eindeutig und lassen keine faktischen Narrative zu“, ließ der Jurist wissen.

Baldonis Anwalt Bryan Freedman hatte vor einigen Tagen nicht nur die 168 Seiten lange „Timeline Of Relevant Events“, eine Sammlung aus Chats, Textnachrichten und Gedächtnisprotokollen während der Dreharbeiten, veröffentlicht. Laut Lively sollen der Jurist und Baldonis Krisenmanager in sozialen Medien auch eine Schmutzkampagne gegen die Siebenunddreißigjährige losgetreten haben.

Schon vor der Premiere im Sommer machten Gerüchte die Runde, Lively habe versucht, das Drehbuch umzuschreiben und Baldoni als Regisseur unter Druck zu setzen. Neben ihrem Ehemann Reynolds rekrutierte sie dazu angeblich auch Taylor Swift. Laut Baldoni kam die Pop-Ikone wie zufällig zu einem Produktionstreffen, bei dem Livelys Vorschläge für eine Szene ­diskutiert wurden. „Mir haben deine Änderun­gen gefallen. Sie hätten mir aber auch ohne Ryan und Taylor gefallen“, ließ Baldoni Lively später via Textnachricht wissen.

L’actrice Blake Lively à une démonstration de “It se termine avec nous” à LondresScott a Garfitt / Inviting / AP

De plus, l’actrice aurait insisté pour exclure Baldoni de la campagne publicitaire pour “une seule fois”. Seulement animé, son mari Reynolds et l’acteur de soutien Brandon Sklenar, qui joue son amour d’enfance à Atlas, montrent des photos du tapis rouge. Également sur l’affiche du film sur la violence domestique, seule l’actrice peut être vue. Lively aurait également tenté d’exclure Baldoni de la célébration de la première. L’acteur et directeur principal auraient passé le gala au sous-sol plus tard. Il a ensuite été “banni” par le parti.

Baldoni se serait précipité de la dépendance au porno et a montré des photos nues

Comment Baldoni accuse l’actrice, elle a déclenché la campagne publique d’agitation mutuelle lorsqu’elle l’a accusé de harcèlement sexuel fin décembre avec un article du “New York Times”. Cela a été suivi par l’actrice de la California Civil Rights Commission et les accusations selon lesquelles Baldoni a montré ses photos de femmes nues, transpirée à travers sa dépendance porno et l’embrassa intime devant la caméra. Le cinéaste a riposté avec une demande de dommages-intérêts de 250 millions de dollars contre le “New York Times” et un procès de plus de 400 millions de dollars contre Lively. Entre les deux plaintes, l’actrice et son mari sont également devenus légalement actifs et ont exigé une compensation par millions.

Lively, connu de “Gossip Girl”, s’inquiète pour les jurés. Le “litige-PR” de Baldoni avec des allégations aux tentatives de chantage et à l’intimidation pourrait affecter les futurs jurés contre l’actrice. “Si la cloche a sonné, vous ne pouvez pas le défaire”, a averti l’avocat de Lively Michael Gottlieb à l’audience cette semaine. Le juge Liman le voit de la même manière. Si les deux parties ne retenaient pas les allégations publiques à l’avenir, il préférera le processus prévu pour mars 2026. Il pourrait alors être serré pour un accord dans les coulisses qui protège Livelys et Baldonis Ruf à Hollywood.



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