L’idée que la Loi Nationale sur les Accidents Vaccinaux Infantiles (NCVIA) de 1986 était une protection nécessaire, essentielle pour garantir un approvisionnement stable en vaccins vitaux, a été vendue au public.La réalité est différente. Cette loi a constitué un coup de maître législatif pour les fabricants de vaccins,leur accordant une immunité juridique sans précédent tout en laissant les personnes affectées avec peu de recours pour obtenir justice.

### L’industrie vaccinale à l’abri de toute responsabilité

La loi de 1986 est née d’une vague de poursuites contre les fabricants de vaccins, en particulier concernant le vaccin contre la diphtérie, le tétanos et la coqueluche (DTC). au début des années 1980, des parents d’enfants affectés par les vaccins ont commencé à poursuivre avec succès les fabricants et ont obtenu des règlements à plusieurs millions de dollars. Les entreprises pharmaceutiques, craignant d’autres batailles juridiques, ont menacé de se retirer complètement du marché des vaccins.Le Département de la Défense des États-Unis a réagi, car il a besoin de la coopération des fabricants de vaccins pour le développement d’armes biologiques et chimiques. Le nombre de laboratoires de haute sécurité confirme l’escalade des armes biologiques qui offrent des résultats plus convoités que les armes nucléaires.

Sous la pression du pentagone,qui a fait de la défense nationale une priorité par rapport à la santé des citoyens,le Congrès a exonéré l’industrie de toute responsabilité juridique,au lieu d’imposer des normes de sécurité plus strictes ou d’exiger une meilleure surveillance. Les législateurs ont adopté la NCVIA, exonérant de fait les fabricants de toute responsabilité.

Un rempart juridique protège les fabricants de vaccins, quels que soient les dommages que leurs produits pourraient causer, afin de protéger la défense nationale et le développement d’armes biologiques.

Dans ce cadre, les personnes souffrant de lésions dues aux vaccins ne peuvent pas poursuivre directement les fabricants. Elles sont plutôt orientées vers le Programme National d’Indemnisation des Accidents Vaccinaux (VICP), un labyrinthe bureaucratique qui rejette près de la moitié des demandes. Pour la plupart, c’est une impasse. Pendant ce temps, les fabricants de vaccins restent à l’abri des conséquences juridiques, libres d’opérer sans crainte de rendre des comptes, réalisant des bénéfices de plusieurs milliards de dollars chaque année.

C’est la seule industrie à l’abri de toute responsabilité.Si une voiture défectueuse cause des dommages, le fabricant est responsable. Si un dispositif médical tombe en panne, l’entreprise fait face à des poursuites.Mais si un vaccin provoque des convulsions, des lésions cérébrales ou même la mort, le fabricant s’en sort indemne, protégé par une couverture de responsabilité civile soutenue par le gouvernement et les grands médias, qui appartiennent également aux fabricants de vaccins et ne dénoncent jamais l’épidémie d’autisme ou d’autres conséquences liées au calendrier vaccinal.

Le coût de l’indemnisation ne provient pas des résultats des grandes sociétés pharmaceutiques,mais d’un fonds administré par le gouvernement,financé par une taxe spéciale de 75 centimes sur chaque dose de vaccin. Bien que cet argent ne provienne pas directement des recettes fiscales générales, il est payé par le public lors de l’achat de vaccins. En d’autres termes, ce sont les consommateurs, et non les fabricants, qui supportent la charge financière des lésions causées par les vaccins. C’est un système qui privatise les profits et socialise les risques.

### Un système conçu pour éviter le contrôle

En supprimant la responsabilité en cas de blessure,la loi de 1986 a supprimé une incitation cruciale pour les fabricants à donner la priorité à la sécurité. La plupart des produits pharmaceutiques sont soumis à des essais cliniques à long terme contrôlés par placebo avant leur approbation. Cependant, les vaccins contournent fréquemment ces normes, souvent avec des études de sécurité alarmantes, des périodes de suivi insuffisantes et des placebos non inertes.

La plupart des essais de vaccins n’utilisent pas de “vrais” placebos. Au lieu de cela, les nouveaux vaccins sont testés en les comparant à des vaccins existants ou à leurs adjuvants (réactogènes), ce qui rend presque impossible la détection de signaux de sécurité.

Considérez le vaccin antipoliomyélitique inactivé de Sanofi, ou vaccin antipoliomyélitique IPOL.Les essais cliniques utilisés pour obtenir la license de ce produit n’incluaient pas de groupe de contrôle et n’évaluaient la sécurité que jusqu’à trois jours après l’injection.Ce délai n’est pas suffisant pour évaluer les événements indésirables graves, et encore moins les risques à long terme tels que les maladies auto-immunes ou les troubles du développement. Ce n’est pas de la science : c’est de la corruption.

### absence de risque financier

Ce manque de contrôle rigoureux est complété par un modèle économique lucratif. Une fois qu’un vaccin est intégré au calendrier de vaccination infantile, il devient une exigence pour que des millions d’enfants aillent à l’école. Pour les fabricants, cela représente une source de revenus garantie, sans responsabilités.Aucun autre produit pharmaceutique ne bénéficie d’une protection juridique et financière aussi extraordinaire.Les critiques affirment que l’abrogation de la loi de 1986 démantèlerait le programme National d’indemnisation des accidents Vaccinaux (VICP), laissant les personnes affectées par le vaccin sans protection. Mais c’est une excuse pour dissimuler le fait que c’est le Département de la Défense qui, sous prétexte de protéger les enfants contre des épidémies inexistantes, justifie l’énorme investissement dans la recherche et le développement d’armes biologiques.

La seule façon de garantir la sécurité des vaccins est d’exiger des fabricants les mêmes normes de preuve que pour les autres médicaments. Cela signifie exiger des essais contrôlés avec un véritable placebo, faire appliquer une surveillance de la sécurité à long terme et rétablir le droit fondamental à une réparation légale. les vaccins devraient être soumis au même examen minutieux que tout autre traitement médical, en étant considérés comme préjudiciables jusqu’à preuve du contraire. La loi de 1986 et la loi de tout pays de vaccination obligatoire doivent être abrogées.

### Le cas en Argentine

Selon le Code Civil argentin, notre corps ne nous appartient pas. Nous sommes désormais une entité sociale ou un objet de droit.De plus, il existe la loi 27.491 sur la vaccination obligatoire,qui viole le principe de précaution étant donné que tous les enfants ne peuvent pas recevoir ces vaccins en raison de problèmes génétiques. De plus, ils ne recevraient aucune compensation de la part des laboratoires.

Un procès récent qui s’est terminé devant la Cour Suprême de Justice, où la Cour approuve la vaccination obligatoire, violant les droits de l’homme, arguant que la vaccination est un “bien social” car cela empêche d’autres personnes de tomber malades, ce qui est une fraude absolue.

L’Art. 7° de la Loi 27491 dit : Les vaccins du Calendrier National de Vaccination, ceux recommandés par l’autorité sanitaire pour les groupes à risque et ceux indiqués dans une situation d’urgence épidémiologique, sont obligatoires pour tous les habitants du pays conformément aux directives établies par l’autorité d’application.

Ces dernières années,des lois ont été abrogées et sanctionnées au congrès,sans débats parlementaires. Celles-ci n’ont pas respecté l’autonomie de la volonté des personnes. Dans les nouvelles lois, l’État, par le biais du gouvernement, s’est approprié nos corps, chacun de nos organes et l’autonomie de notre volonté.

L’article 17 du Code Civil fait que, de sujets de droit de notre Nation, nous devenons des objets de droit car l’article 17 dit que le corps humain est un bien social et un objet de recherche scientifique. De même, l’article 33, qui est une dérivation de l’article 17, détermine que notre corps ne nous appartient pas.

Si nous ne nous faisons pas vacciner,nous serons privés de droits civils et nous ne pourrons pas renouveler nos documents et/ou voyager. La loi oblige à dénoncer ceux qui ne sont pas à jour de leurs vaccins obligatoires, celui qui ne dénonce pas risque une amende et maintenant, dans le cas de Mendoza, ils menacent de prison les parents qui ne font pas vacciner leurs enfants.

La liberté sera conditionnée par le passeport de vaccination complète, passeport qui sera en vigueur de la naissance à la mort. les citoyens vulnérables génétiquement ou pour une autre raison ne pourront pas recevoir d’exemptions aux vaccins de leur propre médecin.

L’autonomie s’identifie à la liberté. La Cour Interaméricaine des Droits de l’Homme a déclaré que : « Le concept de liberté et la possibilité pour tout être humain de s’auto-déterminer et de choisir librement les options et les circonstances qui donnent un sens à son existence, conformément à ses propres options et convictions, est un droit humain fondamental, propre aux attributs de la personne, qui se projette dans toute la Convention Américaine ».

Cour IDH, « Artavia Murillo vs. Costa Rica », 28/11/2012

La vaccination obligatoire viole le droit au consentement éclairé, l’une des éthiques les plus fondamentales de la médecine et un droit humain reconnu par le droit international, y compris le Pacte International relatif aux Droits Civils et Politiques des Nations Unies de 1966, la Déclaration Universelle sur la Bioéthique et les Droits de l’Homme de 2005, la Convention relative aux droits des personnes handicapées et son Protocole facultatif de 2006 et en vertu d’accords reconnus internationalement, tels que les Directives éthiques internationales du Conseil des Organisations Internationales des Sciences Médicales pour la Recherche biomédicale avec des Sujets Humains de 2002 et la Déclaration d’Helsinki de l’Association Médicale Mondiale de 1964, révisée en 2013 et le Code de Nuremberg.

La loi Nationale sur les Accidents Vaccinaux Infantiles (NCVIA) de 1986 : Une Analyze Critique

Introduction

L’idée que la Loi Nationale sur les Accidents Vaccinaux Infantiles (NCVIA) de 1986 était une protection nécessaire pour garantir un approvisionnement stable en vaccins vitaux a été largement diffusée. Cependant, cette vision contraste avec la réalité, selon laquelle la loi a principalement favorisé les fabricants de vaccins, notamment en leur accordant une immunité juridique tout en limitant les recours pour les personnes affectées.

L’Industrie Vaccinale à l’Abri de Toute Responsabilité

La NCVIA est née d’une époque où les fabricants de vaccins étaient confrontés à des poursuites judiciaires, principalement concernant le vaccin contre la diphtérie, le tétanos et la coqueluche (DTC). Face aux menaces de retrait du marché des vaccins, et sous la pression du Département de la Défense des États-Unis qui avait besoin de la coopération des fabricants pour le développement d’armes biologiques et chimiques, le Congrès a adopté la NCVIA. Cette loi a exonéré les fabricants de toute responsabilité juridique, en lieu et place de normes de sécurité plus strictes ou d’une meilleure surveillance.

En conséquence, les personnes ayant subi des dommages liés aux vaccins ne peuvent pas poursuivre directement les fabricants. Elles sont orientées vers le Programme National d’Indemnisation des Accidents Vaccinaux (VICP). Ce programme, malgré l’existence d’un fonds financé par une taxe spéciale sur chaque dose de vaccin, rejette une portion importante des demandes. Les fabricants de vaccins, quant à eux, sont protégés des conséquences juridiques et bénéficient de revenus garantis.

Un Système Conçu pour Éviter le Contrôle

La NCVIA a supprimé une incitation majeure pour les fabricants à donner la priorité à la sécurité. Plusieurs vaccins contournent souvent les normes rigoureuses des essais cliniques, qui sont d’usage pour d’autres produits pharmaceutiques. On constate notamment que les études de sécurité peuvent être alarmantes, les périodes de suivi insuffisantes, et les placebos non inertes.

Absence de Risque Financier

Le modèle économique actuel offre une protection juridique et financière extraordinaire aux fabricants. Une fois qu’un vaccin est intégré au calendrier de vaccination infantile, il assure une source de revenus garantie.

Le Cas en Argentine

Le texte mentionne également le contexte argentin, où le Code Civil et la loi sur la vaccination obligatoire, 27.491, soulèvent des questions concernant le droit au consentement éclairé et l’autonomie individuelle.

FAQ

* Qu’est-ce que la NCVIA ? La loi Nationale sur les Accidents Vaccinaux Infantiles de 1