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Bongripper – Vide – HeavyPop.at

Bongripper – Vide – HeavyPop.at

2024-05-17 23:17:44

de Olivier
le 17 mai 2024
dans Avis

La dernière décennie a donné l’impression que… Bongripper ne décevra probablement jamais, mais leurs meilleurs jours sont derrière eux – juste pour que le Doom/Sludge/Drone-Les instrumentistes après une pause revitalisante de six ans avec un album plein de substance Vide leur album le plus fort depuis Satan adorant le destin essorez-le des os.

Quand un groupe est tellement attaché à un son comme celui-là Bongripper, et que leur écriture évolue dans un cadre conservateur qui suit les conditions du genre, comme le fait le quatuor de Chicago, il est bien sûr difficile de définir les avantages et les inconvénients exacts des disques individuels dans une production relativement congruente. Ainsi Bongripper mais continuez à vous engager dans un niveau de lourdeur instinctif, presque primitif et imaginatif qui vous met en transe, l’instinct doit et peut suffire comme point d’orientation même sans clarté empirique.
Et c’est exactement ce que cela signifie : aussi inspiré, dense et captivant, plein d’idées et d’astuces collantes, de riffs gras et de rythmes grinçants dans une tension intense, comme Dennis Pleckham (guitare), Nick Dellacroce (guitare), Ronald Petzke (basse), Daniel O’Connor (batterie) a travaillé sur Empty (qui permet traditionnellement de lire sa tracklist de manière holistique dans de nombreuses variantes), ils l’ont fait Misérable (2014) et Terminal (2018) pas tout à fait. C’est pourquoi on parle définitivement d’un retour à la forme du avec Tueur de hippies On peut s’extasier sur ce groupe devenu mythique.

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Et cela seul serait une erreur à cet égard, car Bongripper avec Pour toujours maîtriser une scène qu’ils ont rarement abordée auparavant dans leur course en cascade qui montre la saleté sous leurs ongles : dans le drone mystique et ambiant, le gang répète patiemment un riff mélancolique comme un souvenir troublé, insérant à un moment donné des tambours sourds sous l’action et le laisser tranquille Brew délibérément épais et courant d’air, épanoui – sans aucune méchanceté, un peu d’obscurité sous-jacente et une compréhension relativement claire de la catharsis de la beauté au-delà des crescendos existentialistes Bongripper Le numéro effilé en forme de tube semble éthérément peu spectaculaire et se niche esthétiquement d’une manière étonnamment indulgente. Sorcière cloche. Pas une véritable réinvention de la recette, mais un agréable changement de poids dans le MO qui permet de respirer avec envie.

D’autant plus que la chanson titre qui prend le relais immédiatement après (mettant en évidence le grand arc narratif de l’ensemble de l’œuvre) fait tout pour donner à un disque colossalement massif une finale épuisante à juste titre.
Il rumine avec une élégance inquiète l’anachronisme d’une tragédie passée, se traînant dans le brouillard d’un cimetière abandonné jusqu’à la presse martiale, qui aussi Conan mis en marche de bataille. Il réserve des surprises comme une pause courte mais complète, et pourtant, il n’est pas poussé en avant par la tarentule sans avertissement. Bongripper puis tournez constamment les vis à molette de la chanson au-dessus du bruit de feedback, servez un épilogue soulignant et libérez-les de leur monde avec un sentiment d’efficacité inconditionnelle.

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Au début ça brille Rien bien avant qu’un riff psychédélique n’émerge de la mélasse, poussant le poids stoïque au headbanging. Le son, qui capture le volume aussi platement que la concision oppressante, rugit et groove, frotte les chaînes de montagnes d’époque avec netteté, méchant et majestueux, grondant méchant et luttant pour l’épopée, flirtant avec des miroitements occultes. Bongripper varier l’action, captiver, vibrer ascétiquement avec des pics cacophoniques jusqu’à un point culminant rédempteur, rayonner dans toute leur splendeur et leur classe les uns devant les autres Restes Comme une masse visqueuse, laide et hurlante sur le mastodonte du rocher, le traînant de manière presque compacte, sa patine gothique piétinant desséchante mais même retranscrite jusqu’à l’aura death doom. Ici, les Américains tirent le meilleur parti d’eux-mêmes, s’épuisent, mais ne sortent en aucun cas épuisés du système de grottes de leur zone de confort, mais s’accordent plutôt une dose. Comment-Bongripper-Showwalking Au-delà du nombrilisme, un traitement de rajeunissement qui donne faim, qui déborde de vitalité et qui séduit les fans comme un sac de surprises plein sans véritable surprise, tandis que la pure satisfaction l’emporte sur les tendances euphoriques.
Pourquoi un album avec quatre chansons sur 67 minutes de lecture peut être si divertissant peut s’expliquer par tout cela. Je peux, je veux et Doit dans Vide Au fait, c’est assez facile à attacher.

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#Bongripper #Vide #HeavyPop.at
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