2024-10-31 17:47:00
(Lima, 17 octobre 2024, Être servi).- La Commission interaméricaine des droits de l’homme (La Cour interaméricaine des droits de l’homme (CIDH ou Corte IDH) est un organe judiciaire autonome de l’Organisation des États américains (OEA). La juridiction est soumise aux États qui ont reconnu devant la Cour (actuellement 20 personnes de Los Angeles et des Caraïbes). Les personnes et les organisations ne peuvent pas intenter de poursuites directement. Elles doivent d’abord passer par des démarches au sein de la Commission interaméricaine des droits de l’homme (CIDH), qui peut renvoyer les affaires à la Corte IDH. a également rendu récemment plusieurs jugements révolutionnaires, condamnant pour de graves violations des droits de l’homme et des compensations sont fixées. Bien que les jugements soient contraignants, les États ne les appliquent pas et il n’existe aucune possibilité de sanctions.
” href=” data-gt-translate-attributes=”[{” attribute=”” tabindex=”0″ role=”link”>IACHR) und die UNO prangern die schleppenden Fortschritte bei der Demarkation indigener Gebiete in Brasilien an und betonen, dass diese Verzögerungen die Gewalt gegen indigene Gemeinschaften befeuern. Sie fordern den brasilianischen Staat eindringlich dazu auf, den Prozess zu beschleunigen, um der anhaltenden Rechtsunsicherheit und damit der Eskalation von Gewalt Einhalt zu gebieten.
La déclaration des organisations internationales a été faite le 17 octobre après des informations faisant état d’attaques perpétrées par des particuliers et des forces de l’ordre contre des communautés indigènes au Brésil au cours des derniers mois.
Cette situation a conduit au « déplacement forcé des communautés et à la mort de plusieurs de leurs membres qui défendaient leurs terres », indique-t-il.
Les dirigeants du peuple Pataxó Hã-Hã-Hãe, Lucas Santos de Oliveira et Maria de Fátima Muniz de Andrade, ainsi que Neri Ramos da Silva, un jeune indigène issu des groupes indigènes Guaraní, peuplent une grande partie du Paraguay, dans le sud du Brésil et en Bolivie. et le nord de l’Argentine. Leurs communautés rurales sont menacées par l’accaparement des terres et la déforestation au profit de la culture du soja. Avec l’espagnol, la langue guarani n’est qu’une langue officielle au Paraguay. Dans d’autres pays, comme l’Argentine, le guarani se mélange à l’espagnol pour former un dialecte appelé Jopara.
” href=” data-gt-translate-attributes=”[{” attribute=”” tabindex=”0″ role=”link”>Guaraní Kaiowá, wurden zwischen Dezember 2023 und September 2024 getötet.
Nach Angaben der Behörden wurde diese Welle der Gewalt durch das Gesetz Nr. 14.701 verschärft, das die Stichtagsregelung „Marco Temporal“ endgültig rechtlich etablieren soll. Die territorialen Ansprüche der Indigenen würde damit auf das Land beschränkt, dass sie bis 1988 besetzten. Kritiker*innen sagen, dass damit 500 Jahre Als Landraub werden Enteignungen von Ländereien bezeichnet. Die Äcker gehen dann heute meist in die Hände finanzstarker Akteure der globalen Agrarindustrie. Sind die kleinbäuerlich wirtschaftenden Bewohner*innen durch konkurrenzlose Megainvestitionen von den Territorien vertrieben, bewirtschaften die Großkonzerne die Äcker auf industrielle Weise. Das zerstört lokal gewachsene soziale und ökologische Strukturen. Landraub funktioniert in Lateinamerika auch so gut, weil hier oft Korruption die Zusammenarbeit zwischen Agrarinvestor*innen und Regierung erleichtert. Die Landschaften Lateinamerikas (und dem rest der Welt) sind daher heute von industriellem Nahrungsmittelanbau geprägt, während in den meisten Ländern Hunger herrscht, der die Menschen zwingt umzusiedeln.