Cadena Ser : Emission spéciale sur ‘l’affaire Negreira’ sur ‘El Larguero’ : un ancien arbitre raconte la pression qu’il a subie : Hé, poulet, qu’as-tu pensé ? | Des sports

Cadena Ser : Emission spéciale sur ‘l’affaire Negreira’ sur ‘El Larguero’ : un ancien arbitre raconte la pression qu’il a subie : Hé, poulet, qu’as-tu pensé ?  |  Des sports

Cadena SER a diffusé ce mercredi une émission spéciale sur le Affaire Negreira. Une semaine après avoir révélé l’un des plus grands scandales de l’histoire récente du football espagnol, les prétendus paiements irréguliers du FC Barcelone à Enríquez Negreira lorsqu’il était vice-président des arbitres espagnols, Le longeron Avec Manu Carreño aux manettes, il analysera tout ce qui s’est passé depuis la révélation de l’information.

Albert Giménez, un ancien arbitre, a avoué à Manu Carreño dans El Larguero qu’il avait subi des pressions de Negreira alors qu’il était commentateur dans les médias. Il a entendu des phrases comme celles-ci, alors qu’il racontait : « Hé, poulet, qu’as-tu pensé ? Si vous continuez à faire ces commentaires, quelque chose pourrait vous arriver. Faites très attention, il ne vous arrive rien…”. Le commentaire qui lui a été reproché concernait un jeu présumé dans lequel un joueur avait touché le ballon avec sa main, pour lequel Giménez a déclaré qu’il s’agissait d’un penalty.

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“Il présumait que c’était lui qui tirait les ficelles à Barcelone et qu’il contrôlait ce qui s’était passé”, a ajouté Giménez. Carreño lui a demandé si, compte tenu du fait que Negreira avait dit “faites attention” à un arbitre à la retraite, il le voyait capable de faire la même chose avec des arbitres actifs. “Je ne pense pas, bien que cela semble contradictoire.”

Les meilleures firmes du Groupe Prisa ont été présentes dans la spéciale. Les trois journalistes de SER Catalunya qui ont révélé Affaire Negreira : Jordi Martí, Sique Rodríguez et Adrià Soldevila rendront compte de l’avancement de l’enquête journalistique une semaine plus tard. Le directeur adjoint de l’AS à Barcelone, Santi Giménez, et le président d’honneur, Alfredo Relaño, rejoindront la spéciale. Tour à tour, le rédacteur sportif d’EL PAÍS à Barcelone Ramon Besa, le rédacteur en chef Ladislao Moñino et Manuel Jabois complèteront le tableau journalistique pour analyser l’impact de l’actualité.

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Directeur de carrousel de sportDaniel Garrido, accompagnera Manu Carreño dans une spéciale qui mettra également en vedette le commentateur des arbitres de Cadena SER Eduardo Iturralde González.

L’« affaire Negreira »

Mercredi dernier Cadena SER a révélé que le parquet enquêtait sur la société d’un ancien vice-président du Comité technique des arbitres (CTA) qui a reçu des paiements du Barça pendant son mandat. Selon l’exclusivité, le Fútbol Club Barcelona a versé au moins 1,4 million d’euros à une société détenue par José María Enríquez Negreira entre 2016 et 2018. À cette époque, l’ancien arbitre de première division occupait le poste de vice-président du Comité technique des arbitres ( CTA) de la Fédération royale espagnole de football (RFEF). Enríquez Negreira a été vice-président de 1994 à 2018, année où les paiements du club du Barça à DASNIL 95 SL ont cessé.

Josep María Bartomeu, président du FC Barcelone pendant la période faisant l’objet d’une enquête par le parquet, a assuré à Cadena SER que ces paiements remontaient au moins à l’année 2003. C’est la date à laquelle il est arrivé au club et à laquelle il déjà payé DASNIL 95. EL PAÍS a révélé que ces versements existaient depuis 2001 et que le montant total s’élevait à plus de 7 millions d’euros. En 2018, Bartomeu a éteint Negreira, qui a menacé de représailles.

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Dans cette conversation, l’ex-président du FC Barcelone a admis avoir Le longeron connaître le burofax envoyé le 5 février 2019 et publié par Le monde dans lequel Enríquez Negreira a menacé le président par écrit. Le dernier épisode connu de ces conversations entre Negreira et Bartomeu est que l’ancien vice-président du CTA a exigé le paiement immédiat de 267 000 euros par le biais d’une lettre de son avocat adressée au président de l’époque Josep Maria Bartomeu, révélée par EL PAÍS.

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