Cameron Antaque indispensable pour les lions Frankfurren

Cameron Brace findet Wege, wo eigentlich keine sind. Manchmal stellen sich dem Angreifer der Löwen Frankfurt in der Deutschen Eishockey Liga (DEL) gleich zwei oder drei Verteidiger in den Weg. Sie versperren dann den Raum vor dem eigenen Tor oder umzingeln ihn. Doch Brace gelingt es wie einem Entfesselungskünstler immer wieder, ihnen zu entfliehen. Dann legt er den Puck geschickt vorbei, sprintet los und schießt. „Er kann aus dem Nichts ein Tor erzielen“, sagte Löwen-Assistenztrainer Jan Barta am Sonntag nach dem 6:4-Erfolg seines Teams gegen Straubing und machte Brace damit das vielleicht größte Kompliment, das man einem einzelnen Spieler in einem Mannschaftssport wie Eishockey machen kann.

Es ist deshalb nicht überraschend, dass andere Klubs aus der DEL den Einunddreißigjährigen verpflichten wollten. Der Kanadier hatte schon in der vergangenen Spielzeit, seiner ersten in Deutschland, 16 Tore und 24 Vorlagen in 52 Spielen erzielt. In dieser Saison steht er schon nach 40 Partien bei 19 Treffern und 14 Vorlagen. Umso erfreuter waren sie bei den Löwen, dass Brace seine Unterschrift kürzlich unter einen Vertrag gesetzt hat, der ihn zwei weitere Jahre an Frankfurt bindet.

Dabei spielte für Brace eine Rolle, dass er in Frankfurt der sein kann, der er am liebsten ist: mehr der Entfesselungskünstler, weniger der, der den Gegnern Fesseln anlegen soll. Und es spielte eine Rolle, dass Frankfurt seiner Heimat ähnelt. Brace ist in Toronto aufgewachsen, der multikulturellen Hauptstadt Kanadas, die nicht nur aufgrund der Skyline Parallelen zu Frankfurt hat. „Es gibt viele Restaurants, viele Kulturen, viele verschiedene Leute“, sagt Brace. Er mag das. Brace ist jemand, der fast immer ein Lächeln im Gesicht hat, einer vom Typ Frohnatur. „Er ist sehr, sehr wichtig für die Kabine, hat immer eine positive Ausstrahlung“, sagt Barta: „Das ist auch ein Grund, warum er hier ist. Nur Tore schießen reicht nicht. Man muss auch ein guter Typ sein.“

Le fait que Brace aime aller d’une manière différente peut également être reconnu par son cours de carrière. La plupart des talents de hockey sur glace qui espèrent pour une carrière de profil en Amérique du Nord ou en Europe à un moment donné passer à l’une des grandes jeunes ligues telles que l’AHL ou l’ECHL à recommander pour des tâches plus élevées. Au lieu de cela, Brace est allé à l’université, a étudié la gestion des sports et s’est déplacé en Europe que pour la première fois à l’âge de 25 ans. “L’école et l’éducation ont toujours été très importantes pour mes parents”, explique Brace.

Aujourd’hui, il considère cette fois comme précieux pour son développement. “Cela m’a aidé à faire la percée ici en tant que joueur quelque peu plus âgé.” Après avoir obtenu son diplôme de l’Université du Nouveau à. Il a ensuite déménagé en Suède à la meilleure ligue européenne de hockey sur glace, où il est arrivé à 24 et 28 points par saison en deux ans.

Le fait que Brace a immédiatement réussi en Europe est également lié aux salles de glace: presque aucun joueur ne profite de la zone de jeu plus grande par rapport à l’Amérique du Nord. Brace donne plus de temps dont il a besoin en tant qu’artiste déchaîné. “Le jeu ici est parce que je suis petit et rapide et peut-être un peu plus peut compter sur mes compétences offensives que ma défensive”, explique Brace, qui a également joué au baseball dans sa jeunesse à Toronto et dit rétrospectivement: “Aujourd’hui se concentre également sur les gens aussi beaucoup sur un seul sport. C’était bien d’avoir quatre ou cinq mois de congé en été pour obtenir d’autres pensées. »

Dans sa ville natale, il s’agit de hockey sur glace presque partout. La compétition est énorme, dit Brace. Il y a beaucoup trop de talents pour beaucoup trop de postes vacants dans la LNH, ce qui est considéré comme la meilleure ligue au monde. C’est pourquoi des joueurs comme Brace viennent en Europe. Mais très peu sont aussi importants pour leurs clubs que Brace. «Il est un joueur clé pour nous cette année. Il joue exactement le jeu comme nous l’imaginons », explique l’entraîneur-chef Tom Rowe.

Enfin et surtout, les Lions sont de retour sur la mise à jour après de grandes fluctuations dans l’intervalle et se révèlent un lieu de préalable ciblé avant la prochaine pause internationale. De nombreuses blessures sont de retour, retrouvent progressivement leur forme. Avec l’attaquant Chris Wilkie, qui a également prolongé son contrat de deux ans, et le défenseur Maksim Matsushkin est deux meilleurs joueurs en forme. La victoire contre Straubing a été la troisième après l’autre, ce qui est également dû à l’attelle et à la façon dont il se déroule: les trente-un-an se sont rencontrés dans les trois matchs.