Cancer du sein, la recherche prolonge et améliore la qualité de vie

Cancer du sein, la recherche prolonge et améliore la qualité de vie

2023-12-21 13:00:00

Le cancer du sein reste la maladie oncologique qui touche le plus les femmes et, pour cette raison, la plus effrayante. Mais les connaissances toujours croissantes sur les mécanismes biologiques et génétiques qui conduisent au développement de la maladie ont permis aux chercheurs de développer des médicaments qui ciblent précisément les cellules malades et aux cliniciens de traiter les patients avec les traitements les plus adaptés à leur type de cancer. Le résultat de ces progrès est une meilleure survie, chez les femmes dont le cancer est découvert à un stade précoce, mais aussi chez celles dont la maladie a déjà progressé. Il en témoigne “Chiffres du cancer en Italie 2023”, qui photographie chaque année la situation de notre pays et qui est le résultat du travail conjoint de l’Association italienne d’oncologie médicale et de sa Fondation, de l’Association italienne des registres de tumeurs, de l’Observatoire national de dépistage, du PASSI (Progrès des autorités sanitaires pour le Santé en Italie), PASSI d’Argento et la Société italienne d’anatomie pathologique et de cytologie diagnostique. S’il est donc vrai qu’en 2023, on estime qu’il y a eu 55 900 nouveaux cas de cancer du sein, il est également vrai que chez les femmes, au cours de la période 2007-2019, plus de 10 000 décès en moins ont été enregistrés, ce qui équivaut à une réduction de 6 %.

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Pas une mais plusieurs tumeurs

L’un des tournants de la lutte contre le cancer du sein a été de comprendre qu’il ne s’agit pas d’une seule maladie mais de différentes pathologies en fonction des facteurs qui alimentent sa croissance. Il existe trois grands groupes dans lesquels il est possible de diviser les tumeurs du sein : celles qui répondent aux hormones – le type le plus courant -, celles qui expriment la protéine HER2 et enfin celles qui ne présentent aucune des caractéristiques précédentes et qui sont donc définies comme « triples négatifs ». La possibilité de rechercher des mutations génétiques a également permis de définir une autre maladie, celle avec mutation des gènes BRCA, identifiant ainsi un type de cancer du sein aux caractéristiques particulières.

A chacun ses soins

Ce sont ces connaissances qui ont permis le développement de médicaments spécifiques, ciblant des cibles clés pour le développement de la maladie. En effet, si les cellules malades possèdent des récepteurs hormonaux pour les œstrogènes et la progestérone, il est possible d’utiliser des médicaments qui peuvent bloquer leur action et ainsi limiter la croissance de la tumeur ; cependant, dans les cellules porteuses de la mutation BRCA, il existe un traitement visant à exploiter cette altération génétique pour favoriser la mort des cellules malades. Dans le cas des tumeurs HER2-positives, qui représentent environ 15 pour cent de toutes les tumeurs du sein, il est possible d’atteindre précisément cet objectif. De plus, ces dernières années, des médicaments ont été ajoutés qui affectent d’autres cibles et qui peuvent également être administrés à la phase avancée de la maladie. Un ensemble de solutions extrêmement variées qui a permis de proposer à chaque patient le parcours le plus adapté à sa maladie.

La clé est la recherche

La recherche scientifique a garanti la révolution qui a conduit dans de nombreux cas à faire du cancer du sein une maladie chronique. AstraZeneca, plus que toute autre société pharmaceutique, s’engage dans la recherche pour lutter contre ce type de tumeur : c’est dans ses laboratoires qu’a été développée la première molécule contre le cancer du sein et depuis lors, des traitements innovants ont été développés dans tous les sous-groupes du cancer du sein. . Un engagement qui s’étend dans le futur avec 5 nouvelles molécules en phase de développement qui pourront améliorer l’histoire de la maladie et 11 indications dans tous les sous-groupes du cancer du sein qui devraient arriver d’ici 2027. AstraZeneca soutient la recherche en Italie grâce à ses études cliniques, avec plus de 25 essais en cours et plus de 50 centres de recherche impliqués, mais permettant également des études indépendantes.

Accès aux thérapies

Toutefois, rendre les médicaments accessibles ne suffit pas. L’opportunité de pouvoir proposer des traitements innovants le plus rapidement possible est également fondamentale : c’est pourquoi AstraZeneca s’engage à proposer des programmes d’accès précoce au médicament tout en espérant la définition de nouveaux instruments réglementaires favorisant un accès précoce au niveau national. Au cours des trois dernières années, en effet, plus de 3 000 patients, grâce aux études cliniques et aux programmes d’usage compassionnel mis à disposition par l’entreprise, ont eu accès, de manière prioritaire et uniforme dans toute l’Italie, à des thérapies innovantes. Pour que l’innovation soit accessible, une mise à jour ponctuelle des parcours et une « bonne organisation » sont nécessaires.

Les patients doivent pouvoir accéder aux innovations et, en particulier, aux analyses instrumentales et de laboratoire qui leur permettent de comprendre au plus vite quelle voie et quel traitement leur conviennent le mieux. Pour faciliter l’accès aux patients et accompagner les centres d’oncologie dans ces analyses, AstraZeneca a développé au fil des années « AZFastNet », une plateforme numérique qui permet de mettre en contact les hôpitaux et les laboratoires de diagnostic moléculaire, simplifiant dans de nombreux cas l’exécution de certains tests moléculaires prédictifs. , dans divers domaines thérapeutiques. À ce jour, plus de 300 oncologues l’ont utilisé et ont facilité 22 000 diagnostics moléculaires.

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