Un pionnier des études sur la biodiversité, un fondateur de la Société Zoologique Italienne et du riche Musée de Zoologie de Rome, est célébré dans une publication récente. Ce naturaliste, décédé il y a un peu plus d’un siècle, en 1923, est mis à l’honneur par deux zoologues romains dans un article paru dans la revue internationale *Natural History Collections and Museomics*.

L’article met en lumière le « premier program de recherche ornithologique basé sur des échantillons à Rome » lancé par ce naturaliste durant ses trente années d’activité en tant que directeur de l’Institut de Zoologie de l’Université de Rome, de 1883 à 1914.

« Carruccio avait compris qu’il avait besoin d’une base sociale ample pour porter le Musée de Zoologie de l’Université de Rome, et plus généralement les études zoologiques, à un niveau digne d’une capitale », explique Spartaco Gippoliti de la Société Italienne pour l’Histoire de la Faune, « en quelque manière anticipant ce qui est aujourd’hui appelé ‘citizen science’ ».

Une autre initiative importante fut le contact établi avec les ministères pour recevoir les collections zoologiques de la Marine militaire, provenant d’Afrique, d’Amérique centrale et du Japon. En un peu plus d’une décennie, le nombre de vertébrés est passé de moins de 3 000 à 10 000. Un voyage en Grande-Bretagne en 1881 lui avait permis d’approfondir ses connaissances sur les études médicales et naturalistes.

Parmi ses intuitions, il y eut celle de concentrer l’attention sur l’étude faunistique de la Province de Rome, créant une collection spécifique.En 1900, il fonda la Société Zoologique Italienne, dont Victor Emmanuel III, zoologue passionné, accepta la présidence honoraire.

« Mi ha colpito », souligne encore Gippoliti, « l’episodio da lui stesso annotato di quando, saputo della morte dell’Ammiraglio Carlo De Amezaga, chiese alla vedova il dono di alcuni esemplari di uccelli del paradiso che erano rimasti presso di lui a ricordo della circumnavigazione intorno al mondo della pirocorvetta della Regia Marina ‘caracciolo’ ».

Après sa retraite en 1914,les importantes collections qu’il avait rassemblées risquaient de tomber dans l’oubli,mais certains de ses élèves,dont Giulio Alessandrini et Giuseppe Lepri,créèrent en 1932 le Musée civique de Zoologie à l’intérieur du Jardin Zoologique,agrandi les années suivantes. Aujourd’hui, soulignent les auteurs de l’article, si la ville de Rome se trouve à gérer un « Archivio della biodiversita’ del Lazio » d’importance internationale, le mérite en revient à ce médecin naturaliste. L’engagement de la ville dans le domaine de la biodiversité, avertissent les deux chercheurs, ne peut faire abstraction du renforcement du Musée zoologique, en particulier dans la conservation scientifique de ses importantes collections.

Un Pionnier de la Zoologie Romaine : Hommage à [Nom du Naturaliste]

Un article récent paru dans la revue Natural History Collections and Museomics célèbre [nom du Naturaliste], un pionnier des études sur la biodiversité, fondateur de la Société Zoologique Italienne et du riche Musée de Zoologie de Rome. Décédé en 1923, cet éminent naturaliste est mis à l’honneur par deux zoologues romains.

L’article met en lumière le travail remarquable de [Nom du Naturaliste] durant ses 30 années à la tête de l’Institut de Zoologie de l’université de Rome (1883-1914).Il y a notamment mis en place le premier program de recherche ornithologique basé sur des échantillons à Rome. Son approche visionnaire, anticipant la “citizen science”, consistait à mobiliser une large base sociale pour élever le Musée de zoologie à un niveau digne d’une capitale. Spartaco Gippoliti de la Société Italienne pour l’Histoire de la Faune souligne cette vision : « Carruccio avait compris qu’il avait besoin d’une base sociale ample pour porter le Musée de Zoologie de l’Université de Rome, et plus généralement les études zoologiques, à un niveau digne d’une capitale », « en quelque manière anticipant ce qui est aujourd’hui appelé ‘citizen science’ ».

Il a également établi des contacts avec les ministères, acquérant les collections zoologiques de la Marine militaire provenant d’Afrique, d’Amérique centrale et du Japon. Ce qui a permis d’accroître le nombre de vertébrés du musée de moins de 3 000 à 10 000 en un peu plus d’une décennie. Un voyage en Grande-Bretagne en 1881 a enrichi ses connaissances en médecine et en sciences naturelles.

Parmi ses réalisations, la création d’une collection spécifique dédiée à l’étude faunistique de la Province de Rome et la fondation en 1900 de la Société Zoologique Italienne, dont Victor Emmanuel III a accepté la présidence honoraire. Un témoignage anecdotique, rapporté par Gippoliti, illustre sa persévérance: « Mi ha colpito », souligne encore Gippoliti, « l’episodio da lui stesso annotato di quando, saputo della morte dell’Ammiraglio Carlo De Amezaga, chiese alla vedova il dono di alcuni esemplari di uccelli del paradiso che erano rimasti presso di lui a ricordo della circumnavigazione intorno al mondo della pirocorvetta della Regia Marina ‘caracciolo’ ».

Malgré le risque de voir ses collections tomber dans l’oubli après sa retraite en 1914, ses élèves, Giulio alessandrini et Giuseppe lepri, ont créé le Musée civique de Zoologie en 1932 au sein du jardin Zoologique, agrandi par la suite. les auteurs de l’article concluent que l’”Archivio della biodiversita’ del Lazio”, de portée internationale, est le fruit direct du travail de ce médecin naturaliste, et que le renforcement du Musée zoologique, notamment quant à la conservation scientifique de ses collections, est crucial dans l’action de la ville de Rome en faveur de la biodiversité.

Tableau Récapitulatif des Accomplissements de [Nom du Naturaliste]

| Accomplissement | Période | Impact |

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| Direction de l’Institut de Zoologie de Rome | 1883-1914 | 30 ans de recherche et développement du Musée de Zoologie |

| Premier programme de recherche ornithologique | 1883-1914 | Innovation dans l’étude aviaire à rome |

| Acquisition des collections de la marine militaire | Après 1881 | Augmentation significative des spécimens (de <3000 à 10000 vertébrés) || Création d’une collection sur la faune romaine | Après 1881 | Contribution majeure à la connaissance de la biodiversité locale || Fondation de la Société Zoologique Italienne | 1900 | Institutionnalisation de la zoologie en Italie || Création du Musée civique de Zoologie (post mortem) | 1932 | Pérennisation de son héritage et des collections |

FAQ

Q: Quand est décédé [Nom du Naturaliste]?

R: En 1923.

Q: Quel était son rôle à l’Université de Rome?

R: Directeur de l’Institut de Zoologie.

Q: Quelle institution a-t-il fondée?

R: la Société Zoologique Italienne.

Q: Quelle est la signification de son travail pour la ville de Rome?

R: Il est à l’origine de l’critically important “Archivio della biodiversita’ del Lazio”.