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Ce qu’il ne faut pas manger pour vivre une vie plus saine, selon un expert

by Nouvelles

Régime anti-inflammatoire : Selon un expert, ces deux groupes d’aliments favoriseraient l’inflammation.

Yohan Mannone est un athlète de compétition et naturopathe spécialisé dans les micronutriments. Dans ses livres « Mon programme anti-inflammatoire » et « Mes recettes anti-inflammatoires » (publiés chez Leduc), il décrit quelques clés de son mode de vie sain et équilibré qui l’ont aidé à vaincre les maladies chroniques. Ci-dessous, il révèle une liste d’aliments inflammatoires à éviter, dont deux reviennent sans cesse. “Il y a autant de façons différentes de manger qu’il y a de personnes, et il m’est donc impossible de prescrire une seule assiette à tout le monde. En revanche, on sait désormais que certains aliments sont inflammatoires, surtout s’ils ne sont pas de forte qualité, il vaut donc mieux les éviter”, explique-t-il. Cela ressort clairement de ces extraits de ses livres :

Régime anti-inflammatoire : vous devriez éviter ces aliments

#1 Céréales contenant du gluten

“Le gluten est une substance présente dans les céréales comme le blé, l’orge, le seigle, l’épeautre, le kamut, etc. – et donc aussi dans tous les produits qui en sont issus comme les pâtes, le pain, les biscuits, les gâteaux, la semoule et les pâtisseries. Le gluten est un mélange de deux types de protéines végétales : la prolamine et la gluténine, qui s’associent à l’amidon pour former la réserve protéique du grain de certaines céréales, notamment le blé (80 %). Sa structure élastique en fait une substance collante qui est très intéressant pour la fabrication du pain – entre autres parce qu’il rend le pain gonflé et moelleux.

Pourquoi le gluten est-il un problème ? L’augmentation rapide des allergies et intolérances au gluten au cours des 30 dernières années n’est pas surprenante, sachant que le blé d’aujourd’hui n’a rien de commun avec le blé de nos ancêtres. L’ADN du blé moderne, composé de 42 paires de chromosomes et initialement de 14 paires de chromosomes, a été artificiellement modifié. L’industrie agricole en particulier a traversé différentes formes pour augmenter les rendements. Les modifications génétiques apportées au blé l’ont rendu plus efficace pour l’industrie, mais moins digestible pour les humains. Les aliments concernés ne peuvent donc pas être correctement digérés (dégradés par nos enzymes), ce qui entraîne de nombreux dommages au niveau des intestins : les mauvaises bactéries sont nourries, ce qui entraîne une dysbiose (déséquilibre du microbiote). De plus, le contact avec le gluten, ou la molécule « alpha-gliadine » qu’il contient, augmente la production de zonuline, une protéine qui favorise la séparation des liens étroits de l’intestin. Cela conduit à une hyperperméabilité intestinale, qui transforme l’intestin en passoire.

Cependant, hormis les personnes atteintes de la maladie coeliaque qui présentent une intolérance radicale au gluten, il ne semble pas tout à fait souhaitable (et souvent anxiogène) d’éliminer complètement et définitivement le gluten. Cependant, comme il existe de nombreuses substances qui endommagent les intestins, je recommande de limiter autant que possible les céréales contenant du gluten, notamment le blé moderne. Privilégiez les sources de gluten plus faciles à digérer : privilégiez les pains à base d’engrain, de vieux blé et, idéalement, au levain naturel. La fermentation du levain agit comme une pré-digestion du gluten et le rend plus utilisable.”

#2 Produits laitiers de mauvaise qualité

“Le lactose est un glucide (sucre du lait) composé de glucose et de galactose. Normalement, ce sucre est digéré par l’organisme à l’aide d’une enzyme appelée “lactase” et décomposé en acide lactique pour nourrir les bactéries saines de notre microbiote intestinal. À l’âge adulte, beaucoup en ont. Cependant, les gens n’ont plus la capacité de produire cette enzyme, qui est naturellement présente chez les nourrissons pour les aider à digérer le lait maternel, diminue au fil des années jusqu’à devenir finalement moins courante. devient/disparaît. Le corps ne peut donc tolérer qu’une certaine quantité de lactose, qui varie d’une personne à l’autre. C’est l’intolérance bien connue au lactose. Si le lactose est consommé en excès et n’est pas décomposé par l’activité enzymatique, il est fermenté. et provoque des problèmes digestifs et des inflammations ainsi que de nombreux symptômes (problèmes de peau, rhinite, sinusite, migraines, difficultés de concentration, douleurs articulaires, etc.).

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