Normalement, la tâche première du président du CIO est de donner, à la manière d’un juge, une évaluation des efforts des 16 derniers jours, dans son discours de clôture des Jeux Olympiques. Les oreilles des hôtes se dressaient de peur, que les matchs aient été exceptionnels ou tout simplement excellents. Les organisateurs parisiens, si sûrs d’eux-mêmes, n’ont même pas voulu affronter ce verdict de l’Olympe, préférant le faire eux-mêmes. “Ensemble, nous avons vécu des jeux comme le monde n’en a jamais vu”, explique Tony Estanguet, directeur de l’Olympus. le comité d’organisation dans son discours final, avant Thomas Bach peut prendre la parole.