Certificat d’oubli pour les adoptions d’anciens malades du cancer – Focus Tumor news

2024-09-14 17:08:57

Le troisième décret d’application relatif à la loi sur l’oubli oncologique qui, en l’occurrence, réglemente la procédure d’adoption a été publié au Journal Officiel. Le décret exige que l’ancien patient atteint de cancer présente au tribunal un certificat de l’entreprise de santé confirmant que le sujet entre dans les termes du même oubli, car le sujet a été guéri depuis que le délai fixé par la loi s’est écoulé depuis la fin. des traitements. Un autre “avancée importante” selon le président de l’Association italienne d’oncologie médicale (Aiom), Franco Perrone, qui “consolide une loi de civilité, celle sur l’oubli, tout en protégeant dans ce cas les droits des mineurs qui sera adopté”.

Les sujets qui présentent une demande d’adoption pour quelque raison que ce soit, comme indiqué dans le décret « Dispositions concernant l’oubli oncologique en matière d’adoption », « s’ils ont été patients atteints de cancer et dans les conditions prévues à l’article 22, paragraphe 4, selon la période , de la loi du 4 mai 1983, n.184, fournit à l’entreprise de santé qui effectue les investigations demandées par le tribunal à la suite de la demande d’adoption le certificat d’« oubli oncologique » prévu par l’arrêté du ministre de la santé pris en application du article 5, paragraphe 1, de la loi du 7 décembre 2023, n.
193. Si les modalités prévues par le même art. 22, paragraphe 4, deuxième phrase, de la loi no. 184 de 1983, après la conclusion des enquêtes de l’entreprise de santé, le certificat d'”oubli oncologique” est déposé auprès du tribunal auprès duquel la demande d’adoption a été présentée”.

Un ancien malade du cancer qui souhaite adopter un enfant “doit présenter au tribunal, par l’intermédiaire de l’entreprise de santé, un certificat d’oubli oncologique. Ceci est exigé par le troisième décret d’application de la loi sur l’oubli oncologique et je crois que c’est une procédure équitable”. . C’est le commentaire du président de l’Association italienne d’oncologie médicale (Aiom), Francesco Perrone, actuellement à Barcelone pour participer au Congrès de la Société européenne d’oncologie médicale (Esmo).
“Il est juste, dans ce cas – affirme-t-il – de demander un certificat prouvant que la personne est dans l’oubli oncologique, ou que le délai fixé par la loi pour que la personne se déclare guérie est écoulé. En cas d’adoption, en effet, il y a deux droits à protéger : le droit à l’oubli de l’ancien patient et le droit à la protection du mineur qui est adopté dans ce sens est une procédure civile. De cette façon, note-t-il, « est achevé le processus de la loi sur l’oubli oncologique, qui est une loi civile qui vise à éliminer toute discrimination à l’égard des patients atteints de cancer, y compris en ce qui concerne le droit à l’adoption ». Quoi qu’il en soit, a précisé Perrone, “il convient de noter que seules deux catégories d’anciens patients ont besoin du certificat: ceux qui souhaitent adopter et ceux qui ont des contrats d’assurance ou bancaires dans lesquels ont été appliquées des clauses d’aggravation en raison d’une maladie oncologique antérieure”.

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