C’est ainsi que la DGT justifie ses fautes d’orthographe sur les panneaux d’information : “Il y a des limites”

C’est ainsi que la DGT justifie ses fautes d’orthographe sur les panneaux d’information : “Il y a des limites”

Des jours comme ceux de l’Opération Sortie de la semaine de Pâques, l’augmentation du trafic sur les routes signifie que le Direction générale de la circulation augmentez vos messages de prudence et de sensibilisation aux conducteurs. L’utilisation de panneaux lumineux est essentielle à cette stratégie, même s’ils laissent l’utilisation correcte de la langue en arrière-plan.

Suite à la nouvelle publiée par ABC sur les fautes d’orthographe retentissantes sur ses affiches, l’agence a utilisé twitter pour, avec une certaine ironie, répondre au grand nombre d’utilisateurs qui s’en sont fait l’écho.

Leurs excuses sont qu’au milieu de 2023, il ne leur est techniquement pas possible d’ajouter des caractères tels que des virgules ou des accents.

Dans un tweet, la DGT a expliqué que vos panneaux ne sont pas préparés pour supporter plus de 12 caractères et 3 lignes. “Pour cette raison, les points-virgules sont omis et nous jouons avec les lignes pour les faire tenir”, disent-ils de l’organisation.

Cependant, l’argument tombe sous son propre poids, au moins, dans l’une des deux fautes d’orthographe qu’ils commettent : la virgule vocative. Plusieurs utilisateurs ont fait remarquer que sur ces mêmes affiches, une virgule tiendrait dans l’une des cases où ils doivent insérer les lettres.

De plus, dans le tweet qu’ils ont utilisé pour justifier qu’ils ne peuvent pas utiliser de virgules, il en manque deux. La phrase correctement écrite est : “Pepe, la ceinture, s’il te plait.”

La difficulté à placer les accents, les cédilles (Ç) ou le tilde du Ñ vient de l’époque où les imprimeurs de livres ou d’éléments similaires ne pouvaient pas mettre ces symboles en majuscules, puisque l’on était dans une grande case (lettre majuscule) et l’autre en petit (le symbole).

D’autres types de panneaux d’information d’autres organismes, comme les publicités qui ont aussi des caractères mobiles et modifiables, auraient aussi ce même problème… et pourtant ils respectent la règles d’utilisation correcte de l’espagnol.

Cependant, on entend par des termes d’économies économiques que cela ne compenserait pas (a priori) de mettre à jour les panneaux pour supporter au moins l’usage des accents et autres.

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