Chaos et dégâts en fin de match Spinea-Trévise : piqûre pour 14 ultras

Chaos et dégâts en fin de match Spinea-Trévise : piqûre pour 14 ultras

Les échauffourées et les actes de vandalisme à l’issue du match de football Spinea-Trévise du championnat d’excellence le 8 février valaient bien la peine quatorze Daspo pour les fans les plus violents.

Il Questeur de Venise, Maurizio Masciopinto, sur instruction des agents de la Digos, il sévit et les interdictions d’accès aux installations sportives varient d’un an à cinq ans. Neuf supporters de Trévise atteint par la disposition e cinq chambres. Alors que pour ces derniers les Daspos sont tous d’un an, pour les Trévisiens ils varient entre un, trois et cinq ans.

Après tout, en plus de chants racistes tout au long de la réunion, il y a eu beaucoup de dégâts à la structure et un jet constant de pétards sur la police. Seule la présence des agents a empêché le pire. Le Préfet de Venise avait alors les voyages à San Donà dei Treviso sont interdits lors du match entre leur équipe et la formation locale. S’il n’y avait pas eu le cordon de police et la grille qui séparaient les fans de Trévise des locaux et des Vénitiens venus prêter main-forte aux “cousins”, cela se serait terminé par une bagarre.

Ça fait partie de Veniseils lui ont donné des dieux paysans aux invitéspendant ce dernier rils ont répondu qu’ils avaient déjà “fait” toutes leurs femmes. Après le match, les poubelles volaient d’un côté à l’autre et des pétards contre les policiers. Alors en attendant d’être escortés par la police et les carabiniers à l’extérieur du stade, les habitants de Trévise ont défoncé les toilettes de la structure.

Le travail pour les hommes des Digos mené par Carlo Ferretti c’était compliqué car les ultras s’étaient mêlés aux supporters tranquilles des deux équipes. C’est pour faire plus de confusion et éviter d’être identifié.

Une première tentative pour arriver à la confrontation directe c’était déjà là avant à l’intérieur du stade. Contact évité grâce à l’intervention rapide des agents. L’affrontement s’est poursuivi au son de moqueries très lourdes. L’autre moment délicat a été lorsque les deux supporters, à des moments différents, ont été accompagnés à l’extérieur en fin de match.

Devant le stadeles deux groupes ont de nouveau tenté d’entrer en contact en lançant des pétards sur les policiers, alors qu’en réalité il n’y a pas eu de contact physique réel.

Dans les heures qui ont suivi, les Digos ont commencé les investigations pour identifier les responsables de vandalisme et de chants racistes.

Naturellement, les vidéos réalisées par les agents de la Police scientifique ont été fondamentales, pour examiner la position des personnes présentes et identifier les responsables des violences pendant et après le match, qui s’est soldé par un match nul. Comme il ne s’agit pas d’un stade standard pour les catégories de niveau supérieur, il n’y a pas de caméras de sécurité fixes. —

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