“Bien”, acquiesce Achim Deergarten sur Twitter. “Pour ne pas provoquer Poutine, Mme Merkel a refusé à l’époque [Ukrainu uzņemt] OTAN. En retour, Poutine a annexé la Crimée et envoyé des troupes pour soutenir les séparatistes. Cela ne serait jamais arrivé si l’Ukraine était dans l’OTAN.”
Correctement. Pour ne pas provoquer Poutine, Mme Merkel a alors refusé de rejoindre l’OTAN. En remerciement, Poutine a annexé la Crimée et envoyé des soldats pour soutenir les séparatistes. Cela ne serait jamais arrivé si l’Ukraine avait été dans l’OTAN.
— Diergarten, Achim???????? (@Diergarten1) 3 mars 2023
Lors du sommet de 2008, les pays de l’OTAN avaient offert à l’Ukraine la perspective d’une adhésion rapide. Le plan a échoué parce que Merkel et le président français de l’époque, Nicolas Sarkozy, s’y sont opposés, invoquant des intérêts russes. Après l’invasion russe, Merkel a défendu sa décision, affirmant qu’elle croyait toujours que c’était la bonne chose à faire, a déclaré sa porte-parole en avril dernier.
Straka-Zimmerman estime que “l’histoire d’Angela Merkel devra être réécrite, en particulier l’histoire de ces dernières années et ses graves erreurs”.
L’homme politique du FDP ne croit pas que la guerre en Ukraine puisse durer aussi longtemps que la Première ou la Seconde Guerre mondiale. “La guerre ne va certainement pas durer quatre ou cinq ans”, a-t-elle déclaré dans une interview. Poutine ne comptait pas sur un soutien large et durable à l’Ukraine, a-t-elle ajouté.
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