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Choc en France : une jeune fille de 29 ans est violée et empalée avec un balai chez elle

Choc en France : une jeune fille de 29 ans est violée et empalée avec un balai chez elle

2023-08-19 11:09:20

Il est entré par effraction chez elle, l’a brutalement violée à plusieurs reprises et a même utilisé un manche à balai pour la pénétrer. C’est l’histoire déchirante que la victime elle-même, une jeune fille de 29 ans de la ville française de Cherbourg, a transmise aux autorités et aux médecins qui l’ont soignée après avoir subi l’attaque féroce perpétrée par Oumar N. La famille de la victime a en profite désormais pour remercier les messages de soutien reçus durant les deux semaines qui se sont écoulées depuis l’attentat, ainsi que le travail des services impliqués dans la prise en charge de la jeune fille dans une affaire qui a choqué la France.

Les faits se sont produits le 4 août et l’information a progressivement émergé depuis au fur et à mesure de l’avancée de l’enquête, alors que la jeune femme reste dans un coma provoqué luttant entre la vie et la mort, selon le média français ‘Le Figaro’.

Selon le propre témoignage de la victime, un homme – qu’elle avait vu mais ne connaissait pas – est entré chez elle le 4 août et l’a battue et violée à plusieurs reprises, pour lesquelles il a même utilisé un manche à balai de 75 centimètres. Après l’attaque, les médecins ont diagnostiqué chez la jeune femme des perforations du côlon, de l’intestin grêle, du péritoine et du diaphragme, un pneumothorax, des fractures des côtes, une cyanose de la poitrine et un risque élevé de choc septique.

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“La victime a vécu un calvaire et a été massacrée”, ce qui l’a obligée à opérer pendant plusieurs heures et à la plonger dans un coma provoqué, a récemment expliqué au journal français une source proche des investigations. Les blessures de la jeune femme étaient d’une telle ampleur qu’elles ont obligé une équipe de psychologues à soutenir le personnel hospitalier en charge du traitement, puisque certains d’entre eux “n’ont pas pu retenir leurs larmes” lorsqu’ils ont appris les blessures, selon France Bleu. station de radio.

L’agresseur, une connaissance des autorités

Le 10 août, les investigations ont abouti à l’arrestation d’un suspect : Oumar N. Une base de données automatisée d’empreintes digitales (FAED) a permis d’attribuer une trace, retrouvée par des policiers à une porte du domicile de la victime, ce jeune de 18 ans. Cette indication a ensuite été corroborée par un autre élément de preuve : la géolocalisation du téléphone portable de l’agresseur présumé au moment des faits.

Le lendemain, Oumar N. est inculpé de « viol accompagné de tortures ou d’actes de barbarie » et placé en détention provisoire à la prison de Caen. En garde à vue, il a d’abord nié les faits avant de finalement les avouer laconiquement face à la découverte de son empreinte digitale. “Il n’a montré aucune émotion ni empathie pour la victime. Il a eu froid pendant toute la garde à vue”, a confié au Figaro une source proche du dossier.

Oumar N. était une vieille connaissance de la police française et de la justice. Il avait été condamné à cinq reprises par le juge des enfants pour délits de dégradations matérielles et violences, selon le parquet de Coutances dans un communiqué lundi soir dernier. En effet, son casier contenait 17 chefs d’inculpation, dont vol qualifié, manipulation d’objets volés, agression sexuelle incestueuse et rébellion, selon les informations de la télévision française BFMTV.

« Une affaire pour viol sur mineur initiée en 2019 a été classée sans suite par le parquet en 2020, estimant que le crime n’était pas assez grave. A l’heure actuelle, des poursuites sont en cours pour agression sexuelle à l’encontre de sa sœur, sans qu’il soit possible pour l’instant de déterminer si ces faits ont été avérés ou non”, indique le ministère public dans le même communiqué.

Le viol de 2019 aurait eu lieu dans un internat socio-éducatif médical, tandis que la tentative d’agression sexuelle sur sa sœur de 12 ans aurait eu lieu en 2022, selon une source policière citée par ‘Le Figaro’. En raison de cette dernière agression, Oumar N. a récemment été convoqué pour un examen psychiatrique auquel il ne s’est pas présenté.

La famille, reconnaissante

Après avoir pris connaissance de toutes ces données, la famille de la victime s’est exprimée mercredi dans un communiqué transmis au ‘Le Figaro’, dans lequel elle exprime “leurs plus sincères remerciements” à toutes les personnes qui les ont secourues : “les pompiers, la Police, le personnel du Centre Hospitalier du Cotentin, les chirurgiens et surtout le service de réanimation pour leur professionnalisme, leur écoute, leur soutien et leur aide.”

Cependant, compte tenu de “l’état de santé instable et préoccupant” de la jeune femme, ses proches n’ont pas souhaité manifester publiquement. Ils regrettent, oui, les informations médicales “erronées” divulguées par “certains médias et sur les réseaux sociaux”. Et ils ajoutent : “Sa famille, qui souhaite que sa vie privée et sa vie privée soient respectées, reste très sensible à tous les messages de soutien, mais n’est pas particulièrement favorable à l’organisation d’une marche ou de toute autre manifestation en ce moment.”



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