Julia Roberts et Hugh Grant nous replongent au cœur du quartier pittoresque de Londres, entre librairies poussiéreuses, portes bleues et un romantisme si nostalgique.
Certaines histoires d’amour ne vieillissent jamais, tout comme Notting Hillle film qui revient ce soir sur Rete 4, à 21h15. Julie Roberts e Hugues Accorder ils nous ramènent au cœur du quartier pittoresque de Londres, entre librairies poussiéreuses, portes bleues et un romantisme qui nous rend si nostalgique.
Notting Hill, bien sûr, est une comédie romantique, mais aussi un voyage dans un Londres qui a photographié une époque, la nôtre (du moins pour ceux de ma génération, oui, je vous parle, à vous les trente-quarante ans). Et derrière cette magie, il y a des détails et des histoires qu’il vaut la peine de connaître avant de s’asseoir sur le canapé.
Cette porte bleue que nous cherchions tous
Si vous êtes allé à Londres au moins une fois, il y a de fortes chances que vous vous soyez arrêté à 280, chemin Westbourne Parkoù le célèbre porte bleue de la maison de William. Un symbole si puissant que les nouveaux propriétaires, exaspérés par les touristes, l’ont peint en noir. Pourtant, la porte originale a fini aux enchères pour une œuvre caritative, récoltant une somme étonnante de 20 000 £.
Miracle sur la 34e rue sur Italia 1 : pourquoi c’est un classique incontournable de Noël
Un banc qui a traversé le monde
Vous souvenez-vous de la scène dans le jardin privé, où William et Anna s’avouaient leurs sentiments ? Ce banc a été acheté par un Australien qui l’a offert à sa petite amie. Cependant, lorsque la relation a pris fin, la magistrature a trouvé un foyer dans le Jardins de la Reine de Perth.
Les 15 millions d’Anna Scott (et de Julia Roberts)
Quand Anna dit dans le film que ses cachets s’élevaient à 15 millions de dollars, elle n’exagère pas : c’est la même somme que Julia Roberts a gagnée pour jouer le rôle.
Un livre pour ceux qui savent regarder au-delà
La dernière scène, avec William lisant “La mandoline du capitaine Corelli”ce n’est pas aléatoire. Il s’agit d’un hommage au réalisateur Roger Michell, qui souhaitait réaliser l’adaptation du roman, mais qui a malheureusement dû abandonner le projet.
Portobello Road et le temps qui passe
Il y a une magie unique dans la séquence où Hugh Grant marche le long de Portobello Road, avec les saisons changeant autour de lui. Pluie, soleil, neige : le tout condensé en une seule journée de tournage, puis transformé en chef-d’œuvre grâce au montage.