Chronique de Louane au Musée Guggenheim Bilbao (2024)

Chronique de Louane au Musée Guggenheim Bilbao (2024)

2024-05-28 19:16:05

La chanteuse (et actrice) française Louane Il a participé à la fête de la Journée internationale des musées avec son concert dans l’atrium du musée Guggenheim. La performance faisait partie de la série de concerts Art et musique que la galerie d’art organise courant 2024.

Dans les heures précédant leur représentation, nous en avons profité pour visiter quelques-unes des expositions proposées par le musée, et parmi les œuvres d’art pop et d’avant-garde, de nombreuses conversations ont pu être entendues en français. Louane Emera Elle se sentait chez elle, puisque la grande majorité du public réagissait à chaque commentaire, blague ou question de la chanteuse et répondait. C’est peut-être pour cette raison que Louane s’est adressée au public en français à tout moment.

Le concert a commencé à l’heure, avec Louane au piano en interprétant le doux « Secret », une composition qui ouvre également son dernier album en date. « Sentiments» de 2023. Une composition très proche de ce que peut proposer la Britannique Adele, qu’elle a d’ailleurs reprise dans « When We Were Young » également au piano. Il prendra bientôt place au centre de la scène derrière une table presque semi-circulaire dotée d’un clavier et de plusieurs synthétiseurs. Ici, Louane devient plus puissante et brandit ses compositions les plus énergiques. Avec beaucoup d’électronique préenregistrée et autres électroniques live en boucle, le chanteur français a fait bouger le public.

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Louane Il a combiné et harmonisé ses deux visages, celui doux et mélancolique avec celui fort et optimiste. Dans le premier, ses paroles et sa voix occupaient le devant de la scène, tandis que dans le second, les rythmes et la basse rivalisaient avec sa voix pour le leadership. L’acoustique du lieu répercutait sa voix depuis les hauts plafonds de l’atrium jusqu’aux sculptures de La Matière du temps de feu Ricard Serra.

La partie centrale du concert a été principalement marquée par sa pop électronique. Dans la veine de Ronboy ou Art School Girlfriend, « Les étoiles » ou « Jour 1 » ont été joués. Se démarquent « Parano » et « Donne-moi ton cœur », où leur musique électronique parvient à nous rappeler les nuits Art After Dark disparues du musée.

Au piano « Derrière le brouillard », « Les excuses » et « Si t’ètais lá » ont donné la charge émotionnelle au concert. Les ambiances presque futuristes et spatiales de « La fille » sonnaient comme un adieu de courte durée après son retour pour le rappel. Pour la fin de la fête, il a laissé les chansons les plus commerciales et les plus faciles « L’avenir » et « Pardonne-moi » où les refrains, auxquels le public s’est joint, étaient presque tout, et ceux qui Louane allongé

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Comme points à améliorer, soulignons le long discours qu’il a prononcé alors qu’il n’avait que deux chansons (il les a ensuite réduites) et la présence inexistante d’autres musiciens sur scène. Avec un groupe qui la libère de la table centrale lors de ses compositions plus dansantes, son impact sur la performance serait bien plus grand.



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