City n’est pas imbattable et souffre du football d’Inzaghi : si le match nul dure plus d’une heure, l’Inter peut le faire | Première page

City n’est pas imbattable et souffre du football d’Inzaghi : si le match nul dure plus d’une heure, l’Inter peut le faire |  Première page

Aucune équipe n’est imbattable, encore moins Manchester City par Guardiola, qui a perdu la finale de la Ligue des champions il y a à peine deux ans contre les outsiders de Chelsea. Donc, pour le match de ce soir, Je n’écrirai pas, ni qu’il a déjà gagné, ni qu’il va gagner. Seulement qu’il est objectivement plus fort que l’Inter pour les individus et collectivement, qui a des propriétaires et des réserves de meilleure qualité, qui est dirigé par un innovateur du football qui inspire les formes, les systèmes et les principes de jeu, désormais mis en œuvre dans le monde entier.

Cela dit, j’ai vu des fins plus incertaines ou surprenantes que les plus évidentes. Dans la première Ligue des champions de Guardiola, le favori était United d’Alex Ferguson qui, pendant presque un temps, a mené la danse, sauf à s’arrêter en deuxième mi-temps et, en tout cas, sur un épisode. La prochaine fois que les outsiders United ont pris un meilleur départ et ont risqué de surprendre Barcelone, mais ils ont finalement dominé les Catalans avec leur inégalé ramasser. Le tiki-taka a maintenant disparu. Guardiola met en œuvre un coup de pied positionnel (une expression que les commentateurs aiment beaucoup) dans lequel le centre du jeu est le joueur, un polyvalent capable de tout faire avec le ballon. Pas un pour tous, mais tous pour savoir tout faire. Il est curieux de noter, cependant, avec quelle maîtrise Alex Frosio a écrit sur La Gazzetta dello SportCe deux défaites importantes de Manchester City, en Premier League, sont venues l’une d’un entraîneur italien (Antonio Conte) avec une formation en 5-4-1 et l’autre d’une équipe (Brentford, qui plus est à l’Etihad) qui a appliqué le Inzaghiano 3- 5-2. C’est – écrit Frosio – “le bloc bas, les banques d’air de Toney pour l’insertion du milieu de terrain et les actions ont commencé de très loin”. Maintenant, il est clair pourquoi Inzaghi veut commencer par Dzeko et continuer avec Lukaku. Et aussi parce que Mkhitaryan (initialement sur le banc) trouvera de la place du côté opposé à Barella. Une autre solution tactique, cette fois suggérée par Arrigo Sacchi, est de se verticaliser immédiatement dans les rares fois – pensons-nous – où l’Inter pourra récupérer le ballon. Le lancement sur Lukaku, qui sait défendre, encaisser et trier ceux qui arrivent (également Dumfries et Dimarco) pourrait être particulièrement adapté.

Mais si on parle de stratégie, l’Inter ne doit pas renoncer au pressing haut, comme c’est souvent le cas. Car se déplacer de manière compacte, aller tenter d’obstruer les lignes de passe ou, mieux encore, voler le ballon, peut être gratifiant. Même si le discours ne plaît pas aux puristes du jeu, la faute systématiquelorsque vous êtes surpris par un jeu sur le trocart, ça peut être une solution, faisant toujours attention à ne pas se charger de cartons jaunes et à ne pas concéder de coups francs dangereux. La meilleure qualité requise pour une finale comme celle d’Istanbul est laAttention, l’antichambre du respect de l’adversaire, même du plus faible. Imaginez avec City.

C’est un jeu qui doit être divisé en fractions : quinze, trente, quarante-cinq. Et puis encore quinze. Si le score est toujours égal à l’heure du jeu (pas forcément 0-0), les chances de succès de l’Inter vont soudainement augmenter. Premièrement, parce que cela signifierait que la tactique fonctionne. Deuxièmement, parce que la pression, déjà entièrement sur les épaules des Britanniques, pourrait les plonger dans l’abîme de l’incertitude. Ensuite, vous savez, juste un détail. Mais en cela Simon et ses hommes sont maîtres. Guardiola dirige, Simone, s’il veut, sait spéculer. Mais si après tout, s’ils sont arrivés jusqu’ici, l’Inter peut compter sur une défense très solide, deux ailiers, un milieu de terrain qui n’est pas moins que celui de City. Enfin un trio mortel : Lautaro, Dzeko et Lukaku. Allez l’Inter, la nuit peut brûler.

2023-06-10 01:00:00
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