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comment gérer le changement de saison en commençant par prendre soin de notre “deuxième cerveau”

comment gérer le changement de saison en commençant par prendre soin de notre “deuxième cerveau”

1970-01-01 03:00:00

“Avril est un doux sommeil” dit l’ancien proverbe populaire. Pourtant, avec le printemps qui arrive, beaucoup d’entre nous se sentent plus fatigués, affaiblis et ont la sensation de ne pas s’être suffisamment reposés. Les raisons sont liées au changement de saison, qui entraîne avec lui les symptômes les plus classiques de ce qu’on appelle le « mal du printemps ». Le remède le plus efficace pour faire face à la fatigue, à la somnolence et au manque d’énergie à cette période de l’année est certainement de prendre soin de notre « deuxième cerveau », l’intestin. Oui, car l’axe intestin-cerveau régule depuis toujours le bien-être de tout notre organisme : le lien entre le microbiote (un écosystème de plus de 100 000 milliards de « bons » micro-organismes présents dans l’intestin) et le système nerveux central est largement reconnu par la science, pour cette raison, adopter une alimentation correcte et un mode de vie sain, ainsi que trouver le bon moment pour soi, sont des stratégies fondamentales pour affronter l’arrivée du printemps.

Le professeur Fabio Pace (Hôpital “Bolognini” à Seriate – BG), l’un des plus grands experts en la matière, a développé pour Bonomelli – une marque de boissons fonctionnelles en Italie – 10 conseils, entre nutrition et pleine conscience, pour maintenir le bien-être intestinal dès du matin au soir. Si d’une part s’aimer soi-même, cultiver des passe-temps et s’entourer d’amis sont des facteurs qui influencent positivement la sphère émotionnelle, d’un autre côté il est bon de réguler le fonctionnement de notre intestin. Cela implique également de prendre des produits nutraceutiques tels que comme les probiotiques, de précieux micro-organismes vivant dans l’habitat, capables de rétablir l’équilibre de la flore bactérienne, apportant un soutien valable à l’organisme. Avec une valeur globale de 62,4 milliards de dollars en 2022 et en croissance rapide (+7,9% de croissance annuelle entre 2023 et 2032) , le marché de ces micro-organismes progresse également en Italie, où le segment des compléments alimentaires contenant uniquement des probiotiques se confirme parmi les catégories de compléments les plus demandées, selon les données d’Integratori & Salute (26,5 millions de packs vendus en 2023, +40 % par rapport à 2013). ). Même les grandes entreprises du secteur agroalimentaire, impliquées dans le soin du bien-être et de la santé, en sont conscientes et investissent dans ce domaine. C’est le cas de Bonomelli qui a créé la gamme innovante de trois tisanes au probiotique renforcées par la présence d’1 milliard de cellules vivantes du probiotique Bacillus Coagulans BC30®, capables d’allier les bienfaits de ce micro-organisme avec le plaisir d’une boisson chaude, pour une action synergique qui s’ajoute à celle des plantes et herbes médicinales.

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Des alliés probiotiques invisibles, efficaces même à chaud

Beaucoup pensent que les probiotiques ne sont efficaces que lorsqu’ils sont pris à température ambiante ou à froid. “En réalité – précise le professeur Fabio Pace, chef du service de gastroentérologie et d’endoscopie digestive de l’hôpital Bolognini de Seriate – parmi les bactéries probiotiques, il existe un type de bacilles, comme le Bacillus coagulans, qui non seulement ne craint pas les températures élevées, mais les trouve adéquats à sa survie”. Études scientifiques[4]ont en effet démontré que les spores de Bacillus coagulans BC30® présentes dans les tisanes Bonomelli résistent à la chaleur, au milieu acide de l’estomac et à la présence d’acides biliaires dans l’intestin et sont donc capables d’atteindre l’intestin sain, où elles trouver des conditions idéales pour s’éveiller et se reproduire, enrichissant la flore bactérienne.

Les 10 conseils du professeur Fabio Pace pour le bien-être intestinal et mental du matin au soir

1) Maintenir une alimentation saine : “Manger peu, manger de tout, éventuellement des légumes”, disait Michel Pollan, car le bien-être intestinal dépend de notre microbiote, qui nécessite des fibres végétales et une quantité de calories proportionnée à nos besoins.

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2) Éviter le stress qui est aujourd’hui devenu la plus grande menace pour notre bien-être, car il provoque une succession continue de désagréments, souvent liés à des exigences excessives du monde extérieur.

3) Dormir un nombre d’heures suffisant : sans un sommeil réparateur et suffisant, notre corps et notre cerveau ne se rechargent pas. Préparons-nous au sommeil avec des habitudes régulières (comme boire des tisanes) et évitons de rester trop actif, de faire du sport en soirée ou de regarder la télévision pendant une longue période.

4) Prendre des probiotiques : ils sont capables de préserver la santé et de corriger les écarts (temporaires) de notre bien-être, liés par exemple aux infections respiratoires, aux infections intestinales saisonnières, aux opérations, au stress.

5) Ne soyez pas trop rigide avec les règles alimentaires (régimes) : les régimes restrictifs sont de plus en plus à la mode (ex : sans gluten, sans lactose, sans glucides simples) qui ont parfois une indication médicale, d’autres fois non. Et dans tous les cas, même si cela est indiqué, ils construisent une cage dont il faut s’échapper de temps en temps, car se nourrir ne signifie pas seulement se nourrir.

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6) Faites attention à la composition des aliments emballés : de manière générale, les aliments transformés industriellement ou ultra-transformés sont à éviter. Crèmes, émulsifiants, additifs chimiques, colorants, conservateurs sont autant de substances qui menacent notre microbiote intestinal.

7) Faire de l’activité physique : même sans aller à la salle de sport, il est possible de mettre en pratique de petits choix qui nous permettent de garder nos muscles et notre cœur actifs. Se garer un peu moins près de chez soi, aller acheter le journal à pied, promener son chien sont autant de petites opérations qui améliorent notre bien-être cardiovasculaire.

8) Entretenir un réseau de relations humaines significatives : s’entourer d’amis avec lesquels nous partageons une partie de notre temps, parler, écouter et réagir aux stimuli qui proviennent de personnes avec lesquelles nous entretenons de bonnes relations humaines sont des facteurs importants, comme prendre soin de un parent ou un ami.

9) Cultivez un passe-temps : la lecture, la musique, le jardinage, la pêche, la cuisine, sont autant de stimuli cognitifs que nos deux cerveaux adorent recevoir à tout âge.

10) S’aimer et ne pas trop attendre de soi : nous sommes une unité de corps et de psychisme, de besoins biologiques et psychologiques que nous devons reconnaître et respecter.

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