Mais il est clair que le fait d’être jeune, en forme et en bonne santé ne m’a pas immunisé contre un accident vasculaire cérébral.
La vie était déjà difficile.
En plus du trou non diagnostiqué dans mon cœur, avant mon AVC, je faisais face à beaucoup de stress, ce qui peut être un facteur de risque.
10 mois plus tôt, mon grand-père était décédé, puis j’avais perdu ma belle-mère quelques mois après.
Ces événements ont causé beaucoup de chagrin et de tristesse à ma famille.
Puis, sept mois seulement après mon AVC, j’ai eu un accident de voiture. J’ai récupéré physiquement, mais cela a causé des crises d’angoisse si graves que je me retrouvais parfois à l’hôpital, terrifié à l’idée d’avoir un autre accident vasculaire cérébral.
Heureusement, après un certain temps, j’ai réussi à surmonter l’anxiété et à arrêter les médicaments contre l’anxiété. Peu de temps après, j’ai commencé Esthéune clinique de beauté et de bien-être avec un partenaire commercial.
