Une fois de plus, nous devons endurer un film idiot et de droite, un de ceux qui escroquent la tradition du cinéma américain et qui viennent montrer une histoire qui propose de réaliser des rêves individuels et de réaliser ce qui ne peut pas être réalisé, en l’occurrence vaincre le la fureur de la nature s’est transformée en tornades, ces rafales de vent très fortes qui détruisent les villes.
UN Tornadesdirigida por Lee Isaac Chung y protagonizada por Daisy Edgar-Jones y por Glen Powell, la atraviesa el discurso característico del capitalismo yanqui, que quiere imponer una visión del mundo única, en reemplazo de otra supuestamente errónea, cueste lo que cueste, porque esa c’est la vérité.
Grâce à Kate Cooper (Edgar-Jones), le personnage principal, ce nouveau superproduction catastrophique, quel hommage au désormais classique Tornade de 1996, veut faire croire qu’une tornade peut être désactivée, comme si la protagoniste se croyait une « taupe » qui vient les détruire de l’intérieur, mais pas avant de les chasser et de les « apprivoiser », établissant un lien un peu idiot avec le western et la tradition des rodéos.
Parallèlement à cet abaissement subreptice du seuil, se pose la question de gagner de l’argent quelles que soient les souffrances des populations. Javi (Anthony Ramos), le meilleur ami de Kate (et avec qui il partage la culpabilité d’avoir perdu d’autres amis dans l’une de ses aventures), n’hésite pas à acheter des informations (pour anticiper le phénomène) afin de bâtir son entreprise protectrice, et. elle lui en parle à un moment clé, car au lieu d’aider les gens quand l’Oklahoma est dévasté par exemple, il préfère faire ses affaires.
Au début, nous voyons ce qui arrive à Kate et à ses amis lorsqu’ils tentent d’entrer dans une tornade. Elle et Javi sortent vivants de l’aventure suicidaire. Des années plus tard, il la contacte et lui propose de revenir sur le ring, notamment pour tenter ce qu’ils n’ont pas pu tenter cette fois-là : une expérience qui consiste à désamorcer des tornades.
Kate accepte avec un peu de peur et d’enthousiasme et ils forment une équipe de « dompteurs de tornades » rejointe par Tyler Owens (Powell), une sorte de « dompteur de tornades ».cow-boy» ressemblant à un mannequin et à un expert en la matière, et ensemble ils commencent à chasser les gigantesques tourbillons de vent pour les étudier, tout en apprenant à se connaître et à tomber amoureux.
vaincre la nature
À un moment donné, Kate, Tyler et Javi vont aider les habitants d’une ville après le passage d’une tornade, mais le geste humaniste est tiède (bien qu’il soit souligné), puisque le film préfère faire prévaloir l’entêtement des gens. Kate pour avoir vaincu la nature et prouvé sa thèse scientifique.
Il y a aussi une scène embarrassante dans un cinéma et il y a ce genre d’histoire d’amour entre Kate et Tyler (peut-être la meilleure), une intrigue secondaire qui atténue les moments d’adrénaline, mais qui n’est pas suffisamment développée car le film ne vous encourage pas à prenez cette voie, en vous limitant à un flirt hystérique constant entre les deux.
Tornades C’est un cinéma de catastrophe ringard et banal, un spectacle dans lequel ressortent les lieux communs du scénario, toujours mécaniques et stéréotypés, avec des personnages stéréotypés et une histoire qui tente de nous dire que l’impossible peut être réalisé. Et le pire, c’est que ce sont des divertissements qui ne divertissent pas suffisamment pour qu’on les prenne au sérieux.
Pour voir
Tornades (Twisters, États-Unis, 2024).
Action, aventures.
Note : moyenne.
Réalisateur : Lee Isaac Chung.
Rédaction : Mark L. Smith.
Liste : Daisy Edgar-Jones, Glen Powell, Anthony Ramos, Brandon Perea, Maura Tierney, Harry Hadden-Paton, Sasha Lane, Daryl McCormack, Kiernan Shipka, Nik Dodani, David Corenswet, Tunde Adebimpe et Katy O’Brian.
Photographie : Dan Mindel.
Musique : Benjamin Wallfisch.
Durée : 122 minutes.
Convient aux personnes de plus de 13 ans.
Dans les théâtres.