Conflit ouvert sur les comptes du Conseil de la République

Conflit ouvert sur les comptes du Conseil de la République

2024-06-25 11:25:28

Conseil de la République

Comín convoque une réunion d’urgence après que les dirigeants de l’entité l’ont accusé d’opacité

BarceloneConflit ouvert au Conseil de la République (CxR) pour la gestion des comptes. L’entité qui assure la couverture de l’organisme en Belgique, appelée CatGlobal, dénonce l’opacité et le manque de transparence de Toni Comín, vice-président du CxR et chargé, expliquent-ils, de décider où seront les ressources de la plateforme présidée par Carles Puigdemont. sont attribués. Dans une lettre avancé par le monde Et confirmés par l’ARA, les représentants de CatGlobal exigent que le bras droit de Puigdemont soit démis de ses fonctions et qu’un nouveau manager soit nommé. Comín nie catégoriquement les accusations et se réserve le droit de prendre des mesures contre les responsables de l’entité Catglobal. D’autres sources du Conseil présentent tout cela comme une tension « personnelle ». Ce mardi, selon des sources consultées par ce journal, Comín a convoqué une réunion du Conseil pour s’expliquer et défendre sa gestion.

Inscrivez-vous à la newsletter Politique
Un regard sur les boules de pouvoir


Inscrivez-vous

Il convient d’emblée de rappeler que le Conseil de la République ne dispose pas d’une entité juridique propre et que l’association qui le couvre est une entité belge, CatGlobal, qui compte formellement quatre titulaires (différents des membres du CxR ). Ils sont légalement responsables des ressources qui parviennent, par le biais de dons, à financer les activités politiques du Conseil. Dans tous les cas, CatGlobal n’a pas d’autonomie pour décider où vont ces ressources, mais c’est la décision du CxR et, plus précisément, de Comín, vice-président actuel de l’entité et que le gouvernement du Conseil a désigné comme responsable.

Aujourd’hui, Comín a rencontré CatGlobal, dirigée par Jaume Bernis, Pere Jordi Junqué, Peiet Van Den Bergh et Josep Monrabà. Selon plusieurs sources consultées, dans la lettre qu’ils ont envoyée au sommet du Conseil, ils accusent Comín de ne pas justifier les dépenses, de ne pas présenter les factures correspondantes, de retarder les comptes annuels de l’entité, d’enfreindre la loi belge ou de prioriser paiements à certains fournisseurs et non à d’autres. Même en payant certains fournisseurs avant les salaires des travailleurs. Ils mettent également en garde contre d’éventuels problèmes fiscaux. Tout cela sans que Comín soit responsable de l’entité CatGlobal – c’est la responsabilité du Conseil. Tous les quatre notent par ailleurs qu’ils s’exposent effectivement à d’éventuelles conséquences juridiques si aucune ordonnance n’est mise en place.

Comín nie tout

Selon les sources consultées par l’ARA, Comín nie toutes les accusations et précisément ce mardi il veut s’expliquer devant les autres membres du Gouvernement du Conseil de la République. Qui en fait partie ? Il est présidé par Carles Puigdemont et, outre Comín, il y a aussi le député des Junts Toni Castellà, l’ex-députée de la Junte, Aurora Madaula, l’ancien conseiller Lluís Puig, Montserrat Corrons, Mercè Jou, Teresa Vallverdú, David Caldeira, Maria Antònia Font et Josep Andreu. Selon ces sources, elle démontrera que sa gestion a été adaptée.



#Conflit #ouvert #sur #les #comptes #Conseil #République
1719305153

Facebook
Twitter
LinkedIn
Pinterest

Leave a Comment

This site uses Akismet to reduce spam. Learn how your comment data is processed.