Coupe du monde de biathlon: médaille de relais féminin allemande manque

Es gehört zum Biathlon wie das Schießen und Langlaufen, auch mit Stresssituationen umgehen zu können. In der Staffel noch mehr als in Einzelrennen. Die Verantwortung für den Erfolg des Teams, die Erwartungen und Hoffnungen von außen und innen, die Wetterbedingungen, die Fans und die Konkurrenz – nur wer es schafft, all das auszublenden, wird am Schießstand in der Lage sein, fünfmal zu treffen.

Im Staffelrennen der Frauen bei der Biathlon-WM in der Schweiz wartete die französische Startläuferin Lou Jeanmonnot nicht bis zur ersten Schießeinlage, um ihre Konkurrenz gehörig unter Stress zu setzen. Die Sechsundzwanzigjährige lief von Beginn an vorneweg, legte sich als Erste auf die Gummimatte am Schießstand, versenkte ihre Munition zügig im Schwarzen und war als Erste wieder auf der Strecke.

Diese Position gaben ihre nachfolgenden Teamkolleginnen Oceane Michelon, Justine Braisaz-Bouchet und Julia Simon nicht mehr her. Das französische Quartett läutete das finale WM-Wochenende mit einer Galavorstellung ein und gewann den sechsten Titel für die Equipe Tricolore in Lenzerheide.

La compétition ne restait que la lutte pour les autres places de podium. Pour l’équipe allemande, qui était l’une des candidats à la médaille après deux victoires de relais cette saison, la course a commencé très mal: le coureur de départ Sophia Schneider n’a pas obtenu ses trois cartouches de rechargement à l’arrivée et a dû entrer dans le tour de pénalité. «Je n’ai pas obtenu l’arme calmement et je n’ai pas pu retirer le stress de l’itinéraire lors de la prise de vue. Je suis vraiment désolée », a-t-elle dit profondément déçu par l’interview de l’ARD.

Il est apparu désespérément depuis le début avec le rythme de Jeanmonnot. Comme toute la Coupe du monde sur le ski des quatre femmes françaises, le ski a glissé à travers la neige profonde sans aucun problème. Dix degrés Celsius avaient extrêmement adouci l’itinéraire de Sunstone brillante. Cela a été particulièrement perceptible par le deuxième coureur allemand Selina Grotian.

Sa position de départ était plus que ingrat avec plus d’une minutes et demie de retard, mais elle ne pouvait pas compenser beaucoup de temps. «C’était très, très difficile pour ces conditions. J’ai essayé de nager, mais l’itinéraire était très profond », a déclaré Grotian, qui a dû recharger trois fois lors de la prise de vue.

Alors qu’Oceane Michelon et Justine Braisaz-Bouchet ont couru une course solitaire à l’avant, la plus jeune de l’équipe allemande, Julia Tannheimer, 19 ans, a pu compenser certains positions grâce à leur tir au mensonge sans faille. Et le quatuor avait levé le plus grand carte Trump pour le dernier tour – Franziska Preuss, qui a déjà remporté quatre médailles à Lenzerheide, y compris l’or dans la persécution.

Les trente ans -old ont commencé et ont également tiré sans faille en étant allongé. Entre-temps, leur déficit en bronze n’était que de 20 secondes. Lors du dernier tir debout, elle a pris le plein risque – et était assez stressée lorsqu’elle a dû recharger deux fois.

En fin de compte, Preuss a terminé cinquième, la chance de la troisième place que la Suède a obtenu derrière la Norvège, elle avait été conservée jusqu’à la fin. “J’étais consciente de la situation”, a-t-elle déclaré après la course et était ennuyée par le tir debout. Sa coéquipière Sophia Schneider, dont elle l’avait fait subir sous pression, l’a pris en charge: «Cela fait partie de chaque carrière de biathlon que cela se produit. De telles situations vous rendent plus forte. “

Alors que l’allemand s’était battu pour une bonne fin, la dernière coureuse française Julia Simon a frappé les fans sans stress, qui s’est encombré si près du gang qu’il a cassé. Tous les deux allongés et se sont tenus debout, Simon avait frappé toutes les tranches dans une dent de singe et assez de temps pour se tourner vers les fans et son entraîneur Jean-Paul Giachino et s’incliner avant les derniers kilomètres de son triomphe.

Simon et ses coéquipiers ont non seulement été préférés pour le départ final de masse dimanche (13 h 45/ard et Eurosport) depuis cette course de relais parfaite. Mais la Prusse peut également avoir justifié l’espoir d’une cinquième médaille de la Coupe du monde. Le leader de la Coupe du monde globale veut ensuite «mobiliser tout» et «se motiver autant que possible. Et puis nous nous tortures là-bas demain. ”