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Cour Constitutionnelle rejette la réintégration d’Inés Tello au JNJ et donne raison au Congrès | Conseil national de la justice | POLITIQUE

by Nouvelles

La Cour constitutionnelle a déclaré SANS FONDEMENT le recours en réintégration en tant que membre du Conseil national de la justice (JNJ) présenté par Inès Tello, et il s’est ainsi rangé à l’avis du Congrès, qui a destitué le juge pour avoir dépassé l’âge de 75 ans, alors que la Constitution ne le permet pas.

REGARDER: La séance plénière du Congrès a approuvé la disqualification d’Inés Tello et Aldo Vásquez, membres du JNJ, pour 10 ans

Comme on le sait, après avoir été suspendus par le Congrès, la Première Chambre Constitutionnelle de la Cour Suprême de Justice de Lima a ordonné la réintégration d’Inés Tello et d’Aldo Vásquez comme membres du Conseil National de Justice (JNJ). Ce fait a obligé à porter la controverse devant la Cour constitutionnelle.

Le 7 mars, la séance plénière du Congrès a approuvé, par 67 voix pour, la disqualification d’Inés Tello et d’Aldo Vásquez, titulaires du titre Conseil national de la justice.

Les deux magistrats ont été accusés d’avoir violé la Constitution, car ils ont gardé Tello De Ñecco à la tête malgré le dépassement de l’âge autorisé.

En revanche, María Zavala, Guillermo Thornberry, José Ávila, Antonio de la Haza et Imelda Tumialán ont échappé à la destitution, puisque l’Assemblée plénière n’a pas pu obtenir les voix nécessaires pour approuver leur disqualification.

Le TC, dans sa résolution publiée aujourd’hui par Pérou21souligne qu'”elle ne peut ignorer le comportement public de la défense technique du requérant (Inés Tello), José Omar Cairo Roldán, à l’égard de cet organe de contrôle constitutionnel et du caractère obligatoire de ses résolutions”.

APPELLE L’ATTENTION SUR L’AVOCAT LE CAIRE

En effet, selon la résolution, « l’avocat qui fait maintenant appel à cette Cour Constitutionnelle pour qu’elle prenne une résolution en faveur de son client, déclare publiquement qu’il espère que les juges du Pouvoir Judiciaire ne respecteront pas les résolutions du Tribunal Constitutionnel. Cour, afin de ne pas permettre ce qu’il considère comme la consommation d’une ingérence inconstitutionnelle.

« Prôner l’ignorance des résolutions de la Cour constitutionnelle », indique le texte, « est un comportement contradictoire de la part d’un avocat qui s’adresse à cette instance en quête de protection des droits de son client. Il est au mieux paradoxal et incongru, ou au pire preuve d’un double standard, de prétendre que les résolutions d’une instance juridictionnelle sont valables, constitutionnelles et impératives lorsqu’elles sont conformes à ses propres intérêts, et invalides, inconstitutionnelles et inacceptables. quand ils sont opposés (quand ils ne sont pas favorables).

« Les manifestations susmentionnées peuvent être comprises et tolérées dans l’exercice de la liberté d’expression dans le cadre d’une opinion académique ou politique. Mais les avocats qui s’adressent à cette Cour Constitutionnelle et déposent des recours sont soumis aux dispositions de l’article 109.4 du Code de Procédure Civile, qui a une application supplémentaire au processus actuel et aux circonstances actuelles », indique une autre partie de la résolution.

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