2024-03-02 23:28:46
Vert profond, puis sec : Pascal Ramali (à gauche) traverse le paysage colombien sur son vélo.
Image : Transcordillères
Chaleur torride, montées raides, nature fascinante et juste un filet d’eau froide : Pascal Ramali a maîtrisé l’une des courses gravel les plus difficiles au monde. Il ne s’est jamais rendu la tâche facile.
P.ascal Ramali a fait la paix avec l’athlète qui est en lui, avec l’athlète de haut niveau qui lâche prise, prend de la distance, pour ensuite repartir vers de nouvelles performances de haut niveau. Il ne parvient à trouver la paix que temporairement. Ramali vient de rentrer de Colombie cette semaine, sa peau est bronzée, ses jambes sont encore un peu lourdes, son sourire est large lorsqu’il parle de son expérience particulière. «C’était une véritable aventure», dit-il.
L’homme de 37 ans a participé à la course cycliste des Transcordillères et, plus important encore, l’a terminée. Huit jours de labeur sur le vélo gravel avec vos propres bagages sur le vélo et trois contreforts andins devant le guidon. Jusqu’à huit heures par jour en selle dans une chaleur torride pouvant atteindre 45 degrés et des étapes allant jusqu’à 175 kilomètres de long et plus de 4 000 mètres de dénivelé.
#cycliste #extrême #Transcordilleras #mètres #daltitude #Colombie
1709423713