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Critique de l’album éponyme de Deep Sea Monk (2024)

by Nouvelles

2024-11-12 11:57:00

Moine des profondeurs marines Ils se présentent comme « un groupe de Bilbao qui écrit des chansons de rock alternatif aux accents folk. De la musique américaine aux influences blues et soul, en passant par les grands groupes pop britanniques, Adrián Barberá (voix et guitare), Jara Yuste (clavier et violon), Vicent Orón (basse et clavier) et Gonzalo Criado (batterie) proposent un mélange unique de styles. »

Et effectivement, ils le sont… mais bien plus encore, car ce quatuor créé en 2019 a su évoluer et faire un pas de géant, notamment en production, dès leur première démo, “Histoires de minuit”publié au cours de l’année innommable de la pandémie, jusqu’à ce premier album éponyme, enregistré par le légendaire José Lastra (Empty Files, PiLT, Zea Mays) aux Tío Pete Studios, et dans lequel ils rassemblent toutes les influences que le groupe commente dans leur communiqué de presse, pour créer leur propre style, dans la variété qu’ils manipulent.

Donc, Moine des profondeurs marines Ils se présentent comme un groupe complètement dénué de tout complexe face à un éclectisme sonore, dans lequel ils semblent très à l’aise. Et pourquoi ne pas évoluer dans la variété si vous savez comment faire ? Ainsi, l’album commence avec le calme de ‘Sunshine’, un délicat exemple de savoir-faire dans les paramètres de la musique américaine, pour se mettre au rock dans une composition comme ‘Living in Limbo’, un mid-tempo où se mélangent les touche bluesy des riffs de guitare, avec une essence absolument pop, qui devient plus évidente face au refrain du refrain.

‘Don’t believe in ghosts’ nous montre le côté le plus sombre d’un groupe qui, chanson par chanson, laisse un échantillon de sa qualité musicale, comme dans ce cas, où une fois de plus se démarquent les chœurs de femmes et ce piano qui porte absolument le maîtrise d’une belle chanson. L’esprit soul se retrouve, en l’occurrence dans ‘Take a Little time’, notamment au niveau des claviers, ce qui nous laisse deviner à quel point le quatuor gère également ces sons plus sombres, et qui contraste avec la pop absolument lumineuse de ‘Holding on ensemble’, probablement la chanson la plus simple du lot, et où l’on pourrait mettre en valeur la capacité vocale d’Adrián qui a une voix aussi particulière que magnétique.

Nouveau changement de direction avec le pur country de ‘Countryside’, qui les emmène sur un terrain dans lequel ils savent aussi se déplacer comme un poisson dans l’eau, et dans lequel ils semblent se sentir tout aussi à l’aise que dans les passages plus pop, qui, d’autre part, sont répétés à nouveau dans le morceau final de l’album: ‘Holidays’, avec lequel ils concluent un album remarquable, qui ne fait que confirmer la qualité d’un groupe qui était déjà sur notre radar depuis un certain temps, et auquel nous avons maintenant hâte de voir ces nouvelles chansons présentées en direct.



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