Critique : Fils de l’Homme de Jean-Baptiste Del Amo

Critique : Fils de l’Homme de Jean-Baptiste Del Amo

La panacheserie est restée un trésor mineur pour la littérature suédoise. Heureusement, l’investissement de la maison d’édition d’Albert Bonnier dans l’édition expérimentale internationale a plus ou moins été maintenu pendant près de quatre-vingts ans. Depuis sa création en 1946, la série a fonctionné comme une source enrichissante et un bastion de traductions, tandis que des initiatives similaires – comme celle du frère Delfinserien – ont été enterrées au fil des ans.

“Le Fils de l’Homme” est le dernier ajout à la série. Élégamment traduit par Marianne Tufvesson, le roman est le sixième livre de l’auteur français Jean-Baptiste Del Amo (le cinquième, en comptant dans l’édition pour adultes), bien que le premier à être introduit en suédois. L’ouvrage commence par une section italique de treize pages qui représente de manière fidèle et minutieuse une scène de chasse de notre préhistoire. Le rite d’initiation, lorsqu’un jeune garçon attrape sa première proie, présente des caractéristiques qui pourraient être entendues dans l’un des mythes de l’âge d’or de Johannes V. Jensen.

2024-03-03 10:01:14
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