Critique : “Summertimes” – le film sur les Golden Times

Critique : “Summertimes” – le film sur les Golden Times

Per Gessle n’a jamais avait des problèmes avec les clichés et les simplifications. Au contraire, il sait que parfois un « ouais, ouais » est le sentiment le plus authentique d’un premier baiser en sueur ou d’une belle soirée d’été sur la plage de Tylösand.

Il est donc normal que le film sur lui-même soit une simplification, un conte de fées. Un aller simple de montée vers encore plus de montée. Des premières jam sessions dans la chambre des garçons, en passant par l’appel du père pour trouver “un vrai boulot”, jusqu’au frisson d’un public en délire. Tout se passe tellement bien qu’on se retrouve avec une petite histoire d’amour qui respire la comédie romantique rien que par la vitesse.

Des temps dorés

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    Tout droit venu du Brésil – pour les Golden Times à Halmstad

Une obscurité est incluse sous la forme de la tragédie de Christianopel en 1981, lorsque trois jeunes fans sont morts lors d’un concert. Un événement terrible qui touche en douceur mais avec respect à l’ampleur de la popularité des jeunes (très jeunes !) et à la question de la responsabilité et de la culpabilité.

Le protagoniste Waldemar Wahlbeck a une expression initialement perçue comme nulle. Mais au bout d’un moment, cela semble approprié pour un auteur-compositeur qui trouve la perfection dans des phrases comme “oui, oui, je te veux”.

En fait, l’ensemble s’en sort bien, tous ont le mélange d’énergie enfantine et de sérieux professionnel typique de l’âge et du plaisir de jouer. Le fait qu’ils ne soient pas des acteurs de personnages est la même chose. C’est comme avec les chansons, parfois un hé, hé ou ouais, ouais convient mieux qu’une poésie profonde.

Parce que lorsqu’il s’agit de films biographiques, il n’y a en réalité que deux options : raconter les choses telles que c’était ou ce que l’on a ressenti. “Summertime” est 100% émotion. Un goût distinct de maison publique, de vadrouille garnie, d’eau de Javel et de polyester. Mais surtout le goût du “Summertime hé, hé…”.

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