Dans la réponse de Priyank Kharge, A Barb For Poll Panel

Dans la réponse de Priyank Kharge, A Barb For Poll Panel

Dans la réponse de Priyank Kharge, A Barb For Poll Panel, les élections en Inde ont été entachées d’une nouvelle controverse : après les révélations du Pirate Election Commission, qui avait dénoncé les failles du système de vote électronique utilisé dans le pays, c’est aujourd’hui un membre du gouvernement qui est critiqué pour avoir tenu des propos jugés offensants à l’encontre de l’organisme de régulation des élections. Dans cet article, nous revenons sur cette polémique et ses répercussions, qui illustrent les tensions grandissantes entre les différents acteurs impliqués dans le processus électoral indien.

<!–

–>

Le Code modèle existe pour « punir les auteurs de discours haineux et qui divisent », a écrit Priyank Kharge.

Bangalore :

Le fils du chef du Congrès Mallikarjun Kharge, Priyank Kharge, a fermement réfuté les allégations du BJP “d’abus” et “d’invocation de la caste pour créer la désaffection entre les gens” dans sa réponse à un avis de la commission électorale. En plus de plaider sa cause, sa réponse de trois pages comportait également une piqûre – une dans laquelle il rappelait à la Commission son devoir de lutter contre les discours de haine.

L’organisme de sondage avait envoyé à M. Kharge un avis de démonstration concernant ses remarques désobligeantes sur le Premier ministre Narendra Modi lors d’un rassemblement public au Karnataka.

Alléguant que la plainte du BJP ne marque que son “désespoir”, l’ancien ministre du Karnataka et fils du chef du Congrès Mallikarjun Kharge, a écrit : “La caste est une réalité de l’Inde. Seuls ceux qui viennent de milieux privilégiés, comme les dirigeants du BJP qui ont déposé une plainte contre moi, ne comprendra jamais l’inégalité et la discrimination infligées par les gouvernements du BJP”.

Il a écrit que ses commentaires étaient politiques – “en réponse à son discours public (du Premier ministre Modi) en tant que dirigeant du BJP, exposant la nature vide de sa rhétorique en plein essor”.

“Mes propos n’étaient ni (i) une atteinte à la vie personnelle du Premier ministre, (2) malveillante ou offensante aux bonnes mœurs puisque la traduction littérale des propos mis en exergue par l’Honorable Commission n’est “pas capable”, ni ils (3) sur un sujet sans rapport avec la vie publique du Premier ministre », écrit-il.

Le Code modèle, a-t-il ajouté, existe pour “punir les auteurs de discours haineux et diviseurs et non pour avoir dénoncé les mensonges et la rhétorique creuse”.

“Le devoir de s’opposer à la propagande est également une partie protégée du droit fondamental à la liberté d’expression”, lit-on dans la lettre.

Dans ce contexte, il a ensuite ajouté : “Les détails de tous ces cas de discours de haine sont avec la Commission mais aucune mesure n’a été prise contre le ministre de l’Intérieur de l’Union ou le président national du BJP ou le ministre en chef de l’UP… ainsi que Compte tenu du mandat constitutionnel d’égalité devant la loi, j’espère que la Commission prendra également des mesures décisives à leur encontre.

S’adressant à un sondage au Karnataka la semaine dernière, Priyank Kharge avait cité un discours du Premier ministre.

“Lorsque vous (PM Modi) êtes venu à Gulbarga (Kalaburagi), qu’avez-vous dit aux gens de la communauté Banjara ? ‘N’ayez pas peur. Un fils des Banjara est assis à Delhi. Mais si un fils incompétent est assis à Delhi, comment pouvez-vous diriger la famille?” Il avait dit.

Furieux, le BJP avait approché la Commission, alléguant une “campagne de diffamation” contre le Premier ministre.

#Dans #réponse #Priyank #Kharge #Barb #Poll #Panel

Facebook
Twitter
LinkedIn
Pinterest

Leave a Comment

This site uses Akismet to reduce spam. Learn how your comment data is processed.