JE SUIS “Indice international des droits de la propriété 2024”, L’Albanie est 82 sur 125 pays à travers le monde et 20e sur 25 pays dans le centre de l’Europe de l’Est et de l’Asie centrale.
Le faible classement mondial de l’Albanie souligne les problèmes de propriété continue du pays.
Selon les résultats de l’indice, les droits de propriété physique (PPR) se sont révélés être le composant le plus faible avec 4,2 sur 8,5 points en Albanie, ce qui correspond à la valeur maximale. Ceci est suivi par la composante “Environnement juridique et politique” (LP), qui atteint la note la plus élevée avec 4,3 sur 8,7 points. La zone de droite de la propriété intellectuelle (DPI) a été évaluée avec 5,2 points sur 8,6, ce qui est l’évaluation maximale à cela.
L’indice des droits de propriété (IPRI), qui comprend la somme de toutes les composantes ci-dessus pour l’Albanie, était de 4,5 points en 2024.
En Europe, l’Albanie n’est en avance que sur la Turquie et la Bosnie-Herzégovine.
Selon le rapport, la Finlande est parmi les 15 premiers pays pour 2024 avec une valeur IPRI de (8,1) au sommet, suivie de Singapour avec un IPRI de 7,9 points, Danemark avec 7,8 points, les Pays-Bas avec 7,8 points, Luxembourg (7,7 ), Suède, Nouvelle-Zélande, etc., Selon le rapport, il a été constaté que la composante “environnement juridique et politique” dans les pays qui font partie des dirigeants en ce qui concerne les droits de propriété le plus prononcé.
Le deuxième composant le plus fort est le Droits de propriété physique (PPR), suivis de la composante des droits de propriété intellectuelle (IPR).
La chance pour les Balkans occidentaux
Le rapport analyse que les pays des Balkans occidentaux sont confrontés à des défis majeurs, mais ils ont également de nouvelles opportunités de développement et une plus grande intégration dans les structures européennes.
Le rapport souligne que la région est à un tournant: alors que les investissements étrangers augmentent et que la transformation numérique dans de nombreux secteurs augmente l’efficacité, les pays des Balkans sont confrontés à de graves défis tels que la corruption, les faiblesses institutionnelles et l’instabilité politique. Cependant, le potentiel de croissance est important, en particulier dans les domaines des infrastructures, de l’énergie, du tourisme et de la technologie. Ce potentiel peut être utilisé par des réformes coordonnées qui favorisent la transparence, l’efficacité et une zone d’investissement moins chère.
Un autre aspect important du rapport est l’accent mis sur la coopération régionale et le rôle essentiel du soutien des institutions internationales. Malgré les défis, la coopération entre les Balkans occidentaux peut renforcer la stabilité et créer une plate-forme commune pour le développement économique durable. Enfin, le rapport recommande une approche optimiste: avec une politique claire et la volonté de réformer, la région a la possibilité de convertir les défis en nouvelles opportunités de développement à long terme.
Pourquoi l’Albanie fait pire que la région
Selon le rapport, l’Albanie fait plusieurs raisons principales par rapport aux autres Balkans occidentaux (à l’exception de la Bosnie) pour plusieurs raisons principales:
– Problèmes d’institution et corruption: Le rapport souligne qu’il existe un degré élevé de corruption et de mauvaise gestion dans les institutions albanaises, ce qui entrave la mise en œuvre des réformes nécessaires et crée un environnement dangereux pour les investissements. Cela a conduit à un manque de confiance internationale et d’obstacles.
– Infrastructure faible: par rapport à certains pays de la région, il y a encore des obstacles dans l’expansion de l’infrastructure en Albanie. L’absence d’investissements adéquats dans ce secteur limite l’amélioration des domaines du trafic, de l’énergie et de la connectivité numérique et réduit le potentiel d’intégration dans les structures européennes.
-WirtschaftSpleung et le climat commercial: le rapport note que les indicateurs économiques tels que la croissance du PIB et l’attractivité pour les investissements étrangers en Albanie sont plus faibles. Le manque de réformes profondes dans l’administration publique et un climat commercial bon marché ont un impact négatif sur la compétitivité du pays dans une région dans laquelle plusieurs pays ont fait des progrès considérables.
Le rapport suggère que l’Albanie devrait concentrer ses efforts pour renforcer les institutions, lutter contre la corruption et les investissements stratégiques dans l’infrastructure. Ce n’est qu’avec une approche de réforme coordonnée que le pays pourra restaurer la confiance des investisseurs, augmenter sa production économique et approcher les normes régionales.
Il s’agit d’un article exclusif du magazine Monitor, qui conformément à la loi n ° 35/2016, “sur le droit d’auteur et les droits de propriété connexes”.
L’article ne peut être publié que par d’autres médias, citant “Revista Monitor” et un lien vers l’article original.
#Dans #lindice #des #droits #propriété #nous #prenons #troisième #place