D’autres changements sont susceptibles d’arriver

Zu den schönsten Autos auf dem Markt gehören die Modelle von Polestar. Die Bilanz des von Volvo abstammenden schwedischen Elektroautoherstellers indes scheint eher trübe. Das konnte nicht lange gut gehen.

Spätestens seit der Berufung des ehemaligen VW-Urgesteins Winfried Vahland in den Aufsichtsrat zeichnete sich Veränderung ab. Vahland, vor allem bekannt als ehemaliger Chef der zum Volkswagen-Konzern gehörenden Marke Škoda, hatte Mitte Juni die Position des Präsidenten des Verwaltungsrates übernommen. Obgleich aus alten Tagen bestens bekannt mit dem seinerzeit als Designer Zeichen setzenden Thomas Ingenlath, kommt es nun zum Bruch.

Ingenlath, zwischenzeitlich zum Unternehmenschef im hohen Norden befördert, muss seinen Posten als Chef von Polestar aufgeben, neuer Mann auf der Kommandobrücke wird Michael Lohscheller, 55 Jahre alt, der zuletzt Präsident des Importeurverbandes VDIK war. Zuvor hatte Lohscheller sich kurzzeitig um Erfolg der vietnamesischen Marke Vinfast bemüht, davor den Autohersteller Opel durch schwieriges Fahrwasser geführt.

Durant son séjour à Rüsselsheim, il a gagné le respect du célèbre PDG exigeant Carlos Tavares, même si le terme « mérité » correspond probablement assez bien. Le marathonien Lohscheller est un gars sympathique, il est considéré comme un bon dirigeant, mais il est moins susceptible d’avoir des capacités charismatiques et créatives.

Il s’agit peut-être justement d’un savoir-faire solide, car le fait que deux anciens chevaux de bataille de l’industrie soient désormais censés diriger l’entreprise suédoise, qui peine à sortir de son existence de start-up, est également un signe de la difficulté à établir de nouvelles marques. L’entreprise chinoise Geely, financièrement solide, travaille en arrière-plan, mais la patience de son patron Li Shufu est apparemment également limitée. Il ne serait donc pas surprenant que de nouveaux changements surviennent dans la direction de Polestar. Comme on dit, l’essentiel est d’établir des structures de reporting claires, de définir des processus, d’ajuster les finances et de renforcer les ventes.

Reste à savoir ce qu’il adviendra du sympathique Ingenlath, toujours au sourire quelque peu espiègle. On lui aurait promis la direction d’un centre de design pour le groupe Geely. On verra si cela lui suffit. Nous pouvons penser à au moins un constructeur automobile majeur dont le design pourrait bénéficier d’une nouvelle inspiration.