Ce mercredi, l’équipe de l’émission “Il faut qu’on parle” a discuté de plusieurs sujets tels que la fin du ramadan, l’abandon du projet de nouveau stade de l’Union Saint-Gilloise, la préservation de la démocratie, et le phénomène du “happy slapping”. Fanny Rochez et ses chroniqueurs ont débattu de la possibilité d’accorder un jour de congé aux élèves pour célébrer la fin du ramadan, similaire à ce qui est fait pour Mardi Gras par exemple. Certains élèves sont souvent absents le jour de l’Aïd, ce qui pose question. Romain Masquelier de la Dernière Heure a souligné que ce débat revient chaque année puis est rapidement oublié, citant des témoignages de directeurs d’école et d’enseignants.
Dany Spreutels, membre du conseil d’administration de l’Union Saint-Gilloise, a ensuite parlé de la décision de ne pas construire un nouveau stade de 15 000 places pour l’USG au parc Duden. Il a expliqué que le club envisageait de construire un stade à deux kilomètres du stade Marien (au Bempt) en raison de difficultés liées à la rénovation de l’actuel stade, dont une partie est classée. Il a également mentionné la durée des travaux pour la construction d’un nouveau stade.
Le débat a ensuite porté sur la préservation de la démocratie, avec l’intervention de l’animateur du forum Résistances, Manuel Abramovicz. Il a soulevé les défis liés à la présentation de listes électorales en Belgique, soulignant les obstacles liés au multilinguisme du pays. Les chroniqueurs ont également abordé le phénomène inquiétant du “happy slapping”, qui consiste à agresser des personnes, filmer les actes et les diffuser sur les réseaux sociaux. Ce comportement, légalement non défini en Belgique contrairement à la France, a suscité des réactions sur le plateau.